Lus dans le train #20

C’est  l’heure du rendez-vous mensuel « Lus dans le train » ! 
Je vous rappelle un peu le concept, qui a été créé par Les Lectures de Mina. :

Lus dans le train #20

« Pour tout ceux et toutes celles qui ont l’habitude de prendre les transports en commun, nous croisons souvent d’autres passagers plongés, eux aussi, dans un roman. Une belle échappatoire pour sortir de notre train-train quotidien. Et je vous avoue, j’ai tendance à jeter un coup d’œil sur la couverture du livre et le titre. Et pour ceux qui retiennent mon attention, je les note sur mon portable.
On ne sait jamais: si c’était un futur coup de cœur ? »

Lus dans le train #20

Me voilà de retour… Avec un peu de retard, certes, mais je suis là  !
Avec l’arrivée du printemps, de nombreux romans se déploient telles des fleurs dans les transports. Hum… C’est aussi le cas en automne… Et en hiver. Bon, c’est clair que je n’ai pas la fibre poétique. Allons à l’essentiel et voyons les romans que j’ai pu croiser ces derniers jours.

Lus dans le train #20

Lus dans le train #20LA FILLE DES TEMPLIERS,  de Mireille Calmel (XO Editions, 2018)

«19 mars 1314. Jacques de Molay, le dernier grand maître de l’Ordre du Temple, est brûlé en place publique.
Il a été condamné par le roi Philippe le Bel qui reproche aux Templiers de dissimuler un fabuleux trésor.
Mais le jour du supplice, une colombe dépose un message entre les mains du souverain.
C’est la malédiction, terrible : le Roi et ses fils paieront pour ce crime !

Huit ans plus tard…

15 juillet 1322. Une jeune paysanne, Flore Dupin, est pourchassée par les soldats de Charles IV.
Quel secret détient-elle ?
Qu’a-t-elle à voir avec l’ordre du Temple ?

Un homme lui confie :
– Avant de mourir, le roi a prononcé ton nom ! »

  • En notant ce titre, croisé furtivement dans le métro tout en évitant de me vautrer sur l’escalator, j’ai pu découvrir que l’autrice est connue pour ces nombreux romans historiques.  Peut-être, d’ailleurs, avez-vous déjà lu un de ses titres ?

Lus dans le train #20

Lus dans le train #20

RÊVES DE GARÇONS,  de Laura Kasischke (Le livre de Poche, 2009)

«A la fin des années 1970, trois pom-pom girls quittent leur camp de vacances à bord d’une Mustang décapotable dans l’espoir de se baigner dans le mystérieux Lac des Amants. Dans leur insouciance, elles sourient à deux garçons croisés en chemin. Mauvais choix au mauvais moment. Soudain, cette journée idyllique tourne au cauchemar.

« Rêves de garçons » est une plongée au cœur d’un univers adolescent dépeint avec une justesse sans égale. Une fois de plus, Laura Kasischke s’attache à détourner avec beaucoup de férocité certains clichés de l’Amérique contemporaine et nous laisse, jusqu’à la révélation finale, dans l’imminence de la catastrophe.»

  • La première chronique de mon blog fut un roman de Laura Kasischke, « Esprit d’hiver ». Depuis, je n’ai pas eu l’occasion de lire un autre titre de l’autrice. Peut-être un signe pour m’indiquer qu’il serait peut-être temps de le faire 🤔

Lus dans le train #20

Lus dans le train #20

L’ENFANT QUI DEVIENT FOU D’AMOUR,  de Eduardo Barrios (Folio poche, 2004)

«L’enfant qui devint fou d’amour est le journal intime d’un enfant que sa passion pour une femme, la belle Angélica, mène à la folie.
Publié en 1915, ce court roman, d’une rare sensibilité et d’une grande tendresse, décrit de façon implacable les étapes de la démence qui s’empare de cet enfant : les insomnies, l’apathie, la douleur physique, les hallucinations et l’hystérie.
L’enfant qui devint fou d’amour est un livre culte au Chili : de génération en génération, les Chiliens chantent l’histoire de l’enfant qui se meurt d’amour.
On retrouve l’univers de Barrios dans Pauvre laid, la chronique épistolaire – plus amère que douce – des amours impossibles d’un jeune homme disgracieux.»

  • « L’enfant qui devint fou d’amour »… Avec un tel titre, il me fallait absolument lire le résumé. Et que dire… Je veux le lire ! Le connaissiez-vous ? Peut-être là aussi, une belle trouvaille qui va agrandir ma PAL.

Lus dans le train #20

Lus dans le train #20

LE PLUS PETIT BAISER JAMAIS RECENSE,  de Mathias Malzieu (J’ai Lu,  2014)

« Un inventeur-dépressif rencontre une fille qui disparaît quand on l’embrasse. Alors qu’ils échangent le plus petit baiser jamais recensé, elle se volatilise d’un coup. Aidé par un détective à la retraite et un perroquet hors du commun, l’inventeur se lance alors à la recherche de celle qui « fait pousser des roses dans le trou d’obus qui lui sert de cœur ». Ces deux grands brûlés de l’amour sauront-ils affronter leurs peurs pour vivre leur histoire?
Le plus petit baiser jamais recensé est un vrai faux polar romantique. Suite métaphorique de La mécanique du cœur, ce roman teinté de mélancolie regorge de gourmandise explosive. Comme si Amélie Poulain dansait le rock’n’roll et croisait le Petit Prince avec un verre de whisky.
 » 

  • Voilà un roman qui a connu un bon succès à sa sortie. Je l’ai croisé en me rendant au salon du Livre de Paris, dans les mains d’une jeune femme qui semblait beaucoup apprécier sa lecture.

Lus dans le train #20

Que de jolies trouvailles ! D’ailleurs, un de ces titres repérés vous donne-t-il envie ? Pour ma part, « L’enfant qui devient fou d’amour » me tente assez bien.
Bon, mes chers amis, il est temps pour moi de repartir en quête de nouveaux titres dans le dédale des transports parisiens… A bientôt !

Lus dans le train #20

( Image à la une de Yaoyao Ma Van As)


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois