Weetzie Bat

Weetzie Bat

Weetzie est un petit brin de fille qui a grandi avec sa mère, starlette alcoolique, et son père, scénariste junkie, dans le Los Angeles des années 1980. Pour trouver l’amour, Weetzie fait équipe avec Dirk, son meilleur ami. Cette quête les mènera jusqu’à un réalisateur qui ne quitte jamais son imper, le mystérieux Max, et à un surfeur aux cheveux platine, Duck.
Mais, déstabilisée par des événements tragiques et menacée par l’ex aigrie (et un peu sorcière sur les bords) de Max, Weetzie devra retirer les lunettes qui lui font voir la vie en rose pour se confronter à la noirceur du monde et découvrir la recette du bonheur…

Francesca Lia Block, publié en 2019 (chez R, la « vraie » date c’est 1989), contemporain

La note 

1/5, abandon

La critique 

Youhou le premier abandon de l’année, ça faisait longtemps que je n’avais pas lâché un roman aussi vite… Je ne vais pas te mentir, la couverture et le résumé ont donné le ton et j’avais déjà un mauvais pressentiment avant de commencer ma lecture. Le flop n’a malheureusement pas raté !

Dès le premier chapitre j’ai su que Weetzie bat allait être une lecture compliquée voire carrément horrible, et après m’être forcée à lire 150 pages, j’ai lâché l’affaire et j’ai tout simplement abandonné ma lecture. L’écriture n’est pas passée du tout et m’a bloquée dès le début, j’avais du mal à suivre ce que l’auteure voulait dire et je n’ai RIEN compris à ce que j’ai lu. On se perd entre surnoms débiles et mots pour en remplacer d’autres (sans aucune logique), les dialogues n’ont ni queue ni tête et son mal fichus, tout est confus rien n’est clair et mes deux neurones et demi n’ont absolument pas suivi le bordel qui se déroule dans ce livre.

Les personnages sont aussi un empilement de WTF : 0 charisme, 0 intérêt, 100% d’agacement, bref ils n’ont rien pour eux et sont plats au possible… j’ai même déjà oublié leurs noms tellement ils ne m’ont pas marquée. Leur développement dans le peu que j’ai lu est inexistant, et les connexions entre les différents protagonistes sont tellement floues que je ne sais pas d’où viennent certains persos ni ce qu’ils font là (un cauchemar je vous le dis). J’avais le petit espoir que ça finisse par s’arranger, MAIS NON même pas c’est de pire en pire : à trop vouloir faire dans l’original (ou l’abstrait), on finit par se perdre, je crois. En tout cas, j’étais complètement paumée.

Bref, j’ai détesté.

Merci à la Collection R pour l’envoi ! 


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois