Lus dans le train #19

C’est  l’heure du rendez-vous mensuel « Lus dans le train » ! 
Je vous rappelle un peu le concept, qui a été créé par Les Lectures de Mina. :

Lus dans le train #19

« Pour tout ceux et toutes celles qui ont l’habitude de prendre les transports en commun, nous croisons souvent d’autres passagers plongés, eux aussi, dans un roman. Une belle échappatoire pour sortir de notre train-train quotidien. Et je vous avoue, j’ai tendance à jeter un coup d’œil sur la couverture du livre et le titre. Et pour ceux qui retiennent mon attention, je les note sur mon portable.
On ne sait jamais: si c’était un futur coup de cœur ? »

Lus dans le train #19

Quelle douce façon de terminer ce joli weekend ensoleillé, avec un nouveau numéro de « Lus dans le train » .
Surtout que durant ces derniers jours, ma « chasse » aux titres a été très fructueuse ! Je fus même, durant un trajet, entourée de lecteurs. Cela m’avait filé une de ses pêches. Bref ! J’arrête de blablater et je vous présente le butin du mois de février.

Lus dans le train #19

Lus dans le train #19SI JE SERAIS GRANDE, d’Angélina Delcroix (Nouvelles Plumes, 2018)

«Deux voisines de 6 ans disparues le même jour… Une petite fille à l’imagination débordante qui vit dans la peur de déplaire à ses parents… Des corps d’enfants découverts, et au milieu des cadavres, une survivante. Pour l’adjudante Joy Morel, enceinte de quatre mois, c’est le début d’une enquête éprouvante aux frontières de l’inimaginable…»

  • Voilà un thriller au résumé très intriguant et qui nous promet un récit qui pourrait être éprouvant pour les plus sensibles. Un titre à tenter pour ceux qui aiment le genre.

Lus dans le train #19

Lus dans le train #19

DANS LA MANSARDE,  de Marlen Haushofer (Actes Sud, 1993)

«Une femme, épouse bourgeoise, mère de famille, se réfugie régulièrement dans une mansarde pour lire le courrier qui lui est adressé. Or ce qu’elle trouve dans les enveloppes jaunes, c’est, épisode après épisode, le journal qu’elle tenait du temps où, devenue sourde, elle avait été reléguée par son mari dans une cabane, au cœur de la forêt autrichienne (cette forêt si présente dans l’œuvre de l’écrivain). Avec Dans la mansarde, Marlen Haushofer réunit les thèmes qui lui tenaient le plus à cœur : la peur, la solitude, la mémoire, l’hypocrisie des relations. Et en même temps, croyons-nous, elle a réussi le plus subtil et le plus abouti de ses romans. En tout cas, c’est dans le désir d’en connaître la suite à chaque page qu’on lit cette aventure récurrente qu’une souple écriture sert avec efficacité.»

  • Je suis retombée sur la femme qui lisait « Le mur invisible » cité dans le dernier numéro de « Lus dans le train », avec un autre roman de l’autrice. Cela n’a fait qu’aiguiser ma curiosité sur les romans écrits par cette femme et ses thématiques récurrentes. Je crois que je vais craquer et acheter aussi ce titre.

Lus dans le train #19

Lus dans le train #19

LE PREMIER JOUR DU RESTE DE MA VIE,  de Virginie Grimaldi (Le livre de poche, 2016)

«Marie a tout préparé pour l’anniversaire de son mari : gâteaux, invités, décoration de l’appartement… Tout, y compris une surprise : à quarante ans, elle a décidé de le quitter. Marie a pris « un aller simple pour ailleurs ». Pour elle, c’est maintenant que tout commence. Vivre, enfin. Elle a donc réservé un billet sur un bateau de croisière qui fait le tour du monde. À bord, Marie rencontre deux femmes qui, elles aussi, sont à la croisée des chemins. Au fil de leurs aventures, parfois loufoques, elles pleurent et rient ensemble, à la reconquête du bonheur. Leurs vies à toutes les trois vont être transformées par ce voyage au bout du monde…»

  • C’est une autrice dont j’ai souvent entendu le nom, que se soit dans la blogosphère ou mon entourage. Pour ma part, je n’ai lu aucun de ces romans. À vous de voir, si vous êtes tentés ou non par le résumé et le genre Feel Good.

Lus dans le train #19

Lus dans le train #19

UN INTÉRÊT PARTICULIER POUR LES MORTS,  d’Ann Granger (10/18,  2013)

« Nous sommes en 1864 et Lizzie Martin accepte un poste de dame de compagnie à Londres auprès d’une riche veuve qui est aussi une propriétaire de taudis.
Lizzie est intriguée d’apprendre que la précédente dame de compagnie a disparu, apparemment après s’être enfuie avec un inconnu.
Mais quand le corps de la jeune fille est retrouvée dans les décombres de l’un des bidonvilles démolis récemment autour de la nouvelle gare de St Pancras, Lizzie commence à se demander ce qui s’est passé.
Elle renoue avec un ami d’enfance, devenu l’inspecteur Benjamin Ross, et commence à enquêter avec son aide, au péril de sa vie, pour découvrir la vérité sur la mort de la jeune fille dont le sort semble étroitement lié au sien.
 » 

  • Une enquête criminelle dans « Londres du XIXème siècle » et publiée dans la célèbre collection « Grands détectives » de 10/18… Quelle douce tentation dont j’ai bien du mal à résister… enfin, si un peu quand je pense à mon manque de place et la peur de Chéri de se retrouver enseveli sous des livres!

Lus dans le train #19

Comment trouvez-vous ce butin du mois de février ? Pour ma part, comme je l’ai dit plus haut, ce fut une chasse fructueuse. Je souligne quand même, que personne n’a à souffrir pour cela 😆. J’espère qu’un de ces titres saura attirer votre attention et, pourquoi pas, devenir l’une de vos plus belles lectures. Quant à moi, je suis déjà prête à repartir à la chasse aux titres dans les transports.

Lus dans le train #19

(Image de Satchely + Image à la une de Viria )


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois