Chronique : Cinabre - Nicolas Druart (Harper Collins Noir)

Chronique : Cinabre - Nicolas Druart (Harper Collins Noir)
Comme à son habitude désormais, Nicolas Druart m'a baladé du début à la fin, dans une histoire pleine de rebondissements parfaitement imprévisibles.
La galerie de personnages est également au diapason, avec un casting parfaitement géré.
Je ne suis pas étonné d'avoir eu entre les mains un récit aussi maitrisé puisque c'est devenu la marque de fabrique de Nicolas Druart.
C'est un quatrième roman qui régale son lectorat.
Foncez, vous ne le regretterez pas !
Présentation de l'éditeur : Cinabre, c’est la couleur de l’hôtel le plus chic de Toulouse, étau de velours fréquenté par une clientèle fortunée. Un rouge minéral qui rappelle la couleur du sang.
L’Hôtel Ferdinand fut le théâtre d’un quadruple homicide dans les années 1980. Son directeur, Eugène Ferdinand, y massacra sa famille avant d’être abattu par la police. Toute sa famille sauf Richard, petit dernier miraculé. C’est lui-même qui décidera trente ans plus tard de rouvrir l’établissement… Mais on n’efface pas à coups de travaux monumentaux une réputation sulfureuse.
Les Rois de Pique sont six anciens camarades de promo qui ont fui l’hôpital pour se lancer en indépendants. Lorsque l’un d’eux disparaît après avoir soigné une cliente de l’Hôtel Ferdinand, personne ne semble s’en émouvoir. Seul Elliot Akerman, infirmier sensible et sans concession, va partir à sa recherche.
Pendant ce temps, Toulouse vit sous la terreur d’un tueur qui attaque ses victimes au sabre. Est-il isolé ? Et qui doit se sentir menacé ? Pour le capitaine Aubert et son équipe, c’est le début d’un combat sans fin contre une hydre voilée par des nappes de sang.   


Frédéric Fontès, www.4decouv.com

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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois