Lectures de novembre 2020

De l’Amérique profonde à la Grèce, en passant par la Chine et… la lune !

Les romans (adulte) du mois de novembre sont : Le diable, tout le temps ; La joueuse de go ; Civilizations et ma lecture en cours : Anne de Green Gables, je vous en parlerai fin décembre.

Le diable, tout le temps est un coup de cœur, Civilizations est exigeant mais captivant, la style de La joueuse de go ne m’a pas emportée.

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J’ai aussi fait le plein de BD :

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Arte est fidèle à elle-même tout en ouvrant de nouvelles portes, adapter la série culte d’Armistead Maupin est une très bonne idée, je continue de relire De cape et de crocs (avec le tome 6) et ai anticipé la sortie du deuxième tome de Marius.

Au rayon jeunesse, j’ai lu Amelia Earhart – l’aviatrice qui voulait faire le tour du monde, Alexandre le Grand – fils de la Grèce, et L’arche aux dragons.

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Il est encore temps de tenter de remporter l’ouvrage sur Amelia Earhart, c’est parICI.

Un autre concours a été organisé sur Entre Les Pages pour remporter l’ouvrage d’Isabelle Wlodarczyk : Les jours de poudre jaune, c’est parICI

Novembre, c’était aussi :
1000 ans de contes – héroïnes du monde entier, et A fond la caisse !

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Ma lecture en cours :

Lectures de novembre 2020

Présentation de l’éditeur :
Cheveux désespérément roux, visage constellé de taches de rousseur, Anne Shirley est une petite fille curieuse, pleine d’énergie, souvent perdue dans ses pensées, parfois d’une gravité solennelle, sans aucun doute intemporelle. Difficile de résister à ce petit bout d’humanité de onze ans parfaitement imparfait, héroïne d’une série de romans qui a su conquérir des millions de lecteurs à travers le monde, Anne de Green Gables, écrit par Lucy Maud Montgomery, et dont le premier tome parut en 1908. Orpheline à l’esprit vif, à l’imagination sans bornes et qui adore employer de « grands mots », Anne se retrouve par erreur chez Marilla et Matthew Cuthbert qui attendaient un garçon pour les aider à la ferme. Féministe involontaire, romantique impénitente, elle est impulsive, dramatique, maline, drôle, et telle une authentique naïve, elle va bousculer le calme et la monotonie de la vie à Green Gables, en semant partout joies et rêveries, en dénichant la beauté dans les moindres recoins, en ne s’exprimant qu’en points d’exclamation, même dans « les affres du désespoir ». Parce que l’existence d’Anne a aussi une face sombre, hantée par la mort de ses parents et les abandons, qui lui donne son énergie folle, parfois hallucinée, et qui rend son idéalisme et son indignation si poignants et si convaincants. Si le regard d’Anne transcende le monde sur lequel il se pose, Anne de Green Gables, c’est la transformation magique, presque mystique, que seul l’amour peut opérer sur les hommes et les femmes. C’est l’histoire d’une petite fille qui parvient à se faire aimer de tous (Josie Pye exceptée), et de nous les premiers.

Les chroniques à venir :
Deux hommes de bien
Civilizations
L’arche aux dragons
Alexandre le Grand – fils de la Grèce
Arte, Tome 10

Bon mois de décembre à tous et très bonnes lectures !

éèé

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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois