Chroniques expresses 34

Chroniques expresses 34

Le deuxième tome est bien meilleur que le premier. Même si j’avais aimé l’histoire et le rythme du premier, le côté viol à moitié assumé m’avait laissée songeuse. Dans le deuxième tome, on a enfin la relation Georgina/Seth qui se développe, le rival Bastien qui est un incube, un collègue de bureau qui se comporte bizarrement et ce Bastien qui a des ennuis et doit séduire une femme en urgence. J’adore cette série car l’autrice réussit à mêler de nombreuses intrigues en même temps de manière réaliste et le rythme est toujours très soutenu. La protagoniste est une vraie créature du Mal et même si elle a quelquefois des remords, j’aime les petits moments qui nous montrent son côté maléfique malgré tout. J’ai hâte de lire la suite et l’univers est étoffé petit à petit.

Chroniques expresses 34

La couverture indique une romance, la quatrième de couverture aussi et le nom de l’autrice également. Cependant, j’ai été surprise de constater qu’il s’agit d’un roman de zombies, sans doute le premier que je lis d’ailleurs. Pour être honnête, le roman se lit facilement. Les points de vue des personnages se succèdent et les passages avec de l’action sont suffisamment présent pour ne pas s’ennuyer. Cependant, je n’ai pas réussi à vibrer avec le roman. Les personnages m’ont semblé un peu trop caricaturaux, les dangers pas assez sérieux pour avoir vraiment peur et même si certains personnages meurent tout au long du roman, on a des fois l’impression que c’est parce qu’ils sont complètement stupides et qu’ils sortent de la maison alors qu’ils ne devraient pas. Bref, l’empathie n’a pas fonctionné de mon côté.

Chroniques expresses 34

Une famille d’Américains avec le père chef de la mafia se réfugie en France dans une petite ville de Normandie après les aveux du père. Ils vont essayer de s’intégrer. L’idée paraissait assez drôle et j’ai particulièrement adoré le fait que le père décide de devenir écrivain (malgré les pages en typographie machine à écrire qui étaient désagréables à lire). Cependant, le roman met vraiment beaucoup de temps à se mettre en place, toute la partie au milieu avec une histoire d’avions qui se rattache à la fin est finalement peu convaincante et je me suis ennuyée pendant la majorité du roman. Cependant, je dois admettre que la fin est particulièrement dynamique et sympathique à lire, il faut tenir jusque là.


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois