Salon du livre de Montredon-Labessonnié (81)

Bonjour,

Avec un peu de retard je vous fais mon retour sur le salon du livre de Montredon.

https://i2.wp.com/www.montredon-labessonnie.fr/userfiles/images/salon%20du%20livre%202018(1).jpg

Ce petit retard m’a permis de demander à des auteurs facebook leur ressenti par rapport aux différents salons, ceux où il y a seulement des livres et ceux où il y a d’autres animations ou artistes. Et la réponse fut la même que celle de Guy Caillens que je croise régulièrement dans les salons régionaux 😉 !

Je vous explique ! J’étais surprise du peu d’affluence sur le salon (même si elle semble diminuer depuis que j’y vais). D’ailleurs lors de notre échange Guy Caillens me l’a confirmé et l’a expliqué de plusieurs manière… À la recherche d’une solution pour que les salons littéraires fonctionnent même dans les petits villages et petites villes.

Alors il y aurait 2 possibilités :

  1. Soit arriver à avoir une tête de gondole…où au moins un auteur qu’une majorité de gens connaissent 😛
  2. Soit proposer d’autres animations autour du salon.

D’ailleurs il y a 3/4 ans à Montredon, en plus du salon du livre, c’était la fête de l’automne (ou de je sais plus quoi d’autres 😀 ) et on pouvait retrouver des artistes locaux, des écoles qui avaient faire des petits objets aux enfants pour un voyage…et de la nourriture. Et la fréquentation du salon était beaucoup plus importante, tout comme les ventes.

Et selon les informations que j’ai récupéré en interrogeant des auteurs sur facebook, j’ai eu le même retour. Donc, si par hasard des personnes organisant des salons littéraires me suivent, il peut être intéressant de proposer des animations autour du salon…en lien avec ce dernier bien sûr 😛 Enfin, j’dis ça j’dis rien ! 😀

En dehors de Guy Caillens, j’ai aussi beaucoup discuté avec Fabrice Gutierrez dont le prochain roman sort le 2 janvier (et que j’aurais encore une fois le plaisir de chroniquer 😉 )…

Salon du livre de Montredon-Labessonnié (81)

Voir son œuvre littéraire figurer parmi les meilleurs ventes est une véritable aventure semée de mille embûches. L’héroïne est confrontée à toutes les difficultés pour connaître les joies de l’édition et la gloire qu’elle pense mériter. Lise est une femme qui s’est jetée à corps perdu dans l’écriture. Malgré tout le talent qu’elle lâche dans ses écrits, elle fait partie de ces innombrables recalés, ceux qui reçoivent les sempiternelles lettres de refus d’édition et dont les livres iront rejoindre les bibliothèques des ouvrages jamais édités. Le hasard de la vie la place sur la route d’une âme amie qui deviendra sa meilleure ennemie. Lise veut dénoncer l’injustice souveraine des maisons d’édition qui entretiennent le mythe d’une hypothétique découverte de la future perle littéraire tout droit tirée de l’imagination d’un illustre inconnu. Elle et son surprenant nouvel amour n’y croient pas ou plutôt n’y croient plus ! Ils élaborent donc une stratégie pour tout de même parvenir à leurs fins. Un polar mêlant suspense, amour et vengeance, qui tient son lecteur en haleine jusqu’au dénouement de l’intrigue. Pré-commande ici

Bon je dois reconnaître qu’avec lui je n’ai pas beaucoup discuter littérature, ni salon car depuis le temps que l’on se croise, on se connaît un peu 😀

Continuons la balade… j’ai croisé quelques membres de l’équipe d’Évidence Éditions que je commence aussi à bien connaître à force de les croiser 😉 et que j’apprécie pour leur honnêteté et leur dynamisme … En parlant d’ Évidence Éditions, le roman de Crystal Cossey, « Ma femme ce monstre »,  m’a interpellé car il allait à l’encontre du mouvement actuel de #balancetonporc et j’avoue que j’ai trouvé ça osé. Quand à l’auteure, elle est investit quand elle en parle et j’avoue avoir beaucoup aimé sa petite phrase sur la parité … Et oui ! Même les hommes peuvent subir des violences, mais on en parle beaucoup moins.

https://images-na.ssl-images-amazon.com/images/I/51KduaXEBML._SX347_BO1,204,203,200_.jpg

Rien ne prédestine ce charmant jeune homme, militaire, à rencontrer celle qui va le détruire durant presque trente ans. Obligé de l’épouser seulement quelques mois après l’avoir rencontré, il endosse une paternité qui n’est pas de son fait. Nous sommes dans les années quatre-vingt. Elle n’aura de cesse de le frapper, l’humilier, le bafouer, salir le nom et la position sociale qu’il lui apporte. Sur fond d’alcoolisme et de sexualité salace et scabreuse avec des amants de passage, des « baltringues », cette femme va tenter de l’entrainer dans cette vie dépravée. Jamais il ne tombera dans ce précipice, au grand désespoir de Hyacinthe. Bien qu’il essaie de parler de ce qu’il vit, des coups, des blessures, dont il gardera à jamais les blessures psychologiques, dès qu’une personne intervient afin de le sortir de cet enfer, la seule réponse qu’il peut fournir est « Ce n’est pas de sa faute ». Faudra-t-il attendre qu’elle attente à sa vie pour qu’il sorte enfin de cet abîme ? Lien d’achat : https://amzn.to/2yycZB4

Mais j’ai résisté à la tentation et suis sortie du salon sans rien avoir acheté. Il faut dire que ce roman était le seul qui me tentait vraiment et que, même si je connais de bons auteurs dans cette ME, l’image qu’elle renvoie sur les réseaux sociaux à une fâcheuse tendance à me refroidir 😦

Voilà ! Voilà ! Vous savez tout 😉

Je reviens au début de mon article… Et vous pensez-vous que proposer des « animations » autour d’un salon littéraire est une solution pour attirer du monde ??

Bonne lecture ! ❤

Publicités

wallpaper-1019588
Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois