Les Puissants – T2

Les Puissants – T2

Vic James, publié en 2018. Fantasy

La note 

4/5

La critique

Après un premier tome assez compliqué, Vic James revient avec Egaux, la suite de sa série Les Puissants. Si j’avais peur de relever les mêmes points négatifs pendant ma lecture, j’ai fini par préférer ce tome-ci au précédent…

Mais avant d’être complètement dans l’histoire, je t’avoue que la reprise à été compliquée, entre les personnages nombreux et les enjeux dont on ne souvient pas forcément, un résumé du tome précédent n’aurait pas été de trop, et m’aurait évité la galère des 100 premières pages qui ont été difficiles à dépasser.

Heureusement l’auteure se rattrape ensuite, et propose un tome plus sombre que le 1er, et je pense que c’est principalement pour ça que j’ai préféré cette suite : esclavage, torture, meurtres, Vic James n’y va pas de main morte et n’hésite pas une seule seconde à faire couler le sang de ses personnages, qui n’en sortiront pas indemnes… Et les personnages brisés, qui ne les aime pas par ici ?

En parlant persos, je les trouvais déjà complexes dans le 1er tome, mais l’auteure s’est surpassée ici tant ils sont bien travaillés (un peu trop parfois), sans parler des rapports entre chacun : entre trahisons et affaires politiques, difficile de discerner les gentils des méchants, et je t’avoue que je me suis parfois arraché les cheveux en essayant de deviner les motifs de certains. Grâce à tout ceci, les 100 dernières pages sont tout simplement excellentes, surtout après le milieu assez chaotique du roman, et il devient impossible de lâcher son bouquin… jusqu’à cette fin qui n’en est pas une, et qui arrivera dans le T3 (POURQUOI TANT DE HAINE IL ARRIVE QU’EN 2019 JDZDJOADK).

Par contre il y a toujours autant de longueurs que dans le premier tome, et il faut s’accrocher avec cette série… les scènes intéressantes se déroulent vers la fin, et je pense que malheureusement beaucoup risquent de lâcher avant.

Bref, j’attends 2019 avec impatience et je vais aller pleurer dans mon coin en attendant. Merci aux éditions Nathan pour l’envoi ! 


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