Les gardiens de la galaxie mère entropie : les gardiens de jim starlin

LES GARDIENS DE LA GALAXIE MÈRE ENTROPIE : LES GARDIENS DE JIM STARLIN Jim Starlin est à la base de quelques-unes des plus grandes sagas cosmiques de l'univers Marvel; pour autant les responsables de la maison des idées lui ont bien fait comprendre que désormais, il fallait qu'il laisse tranquille Thanos et la continuity, pour se contenter d'écrire des récits en marge de ces grands événements pour nous propose régulièrement. Jim obéit et continue donc à produire de son côté, avec cette fois une mini série dédié aux Gardiens de la galaxie, que Panini Comics propose en une seule fois, sous forme d'un vrai-faux graphic-novel. Il y a pas mal d'humour et de scènes truculentes à l'intérieur. Dès les premières pages, on retrouve les Gardiens sur la station spatiale Nulle Part, préoccupés par la situation financière catastrophique du groupe. Ils doivent de l'argent à un peu tout le monde, et la seule chance qu'ils ont de pouvoir renflouer les caisses est d'accepter une mission qu'on leur propose par inadvertance. A priori rien de très compliqué, puisqu'ils vont devoir escorter un moine ravolien qui possède une précieuse relique, capable toutefois, si mal employée, de déclencher la fin de tout. En gros, il ne faut jamais être plus de 5 en présence de l'objet. Vous l'aurez compris, ce n'est qu'une question de pages avant que nos héros se retrouvent à 6 n'enclenchent un processus maudit, qui finira par menacer la création. Ils ont toutefois une petite excuse : ils ne sont pas seul dans cette affaire. Vous vous rappelez de Pip le troll, porteur de la gemme de l'espace, compagnon fidèle d'Adam Warlock, et gaffeur-ivrogne-malhonnête devant l'éternel? Le voici de retour. LES GARDIENS DE LA GALAXIE MÈRE ENTROPIE : LES GARDIENS DE JIM STARLIN Starlin connaît très bien ce personnage, qu'il a employé parfaitement durant la grande saga Infinity Gauntlet, qui reste à ce jour le modèle de référence du genre. Ici Pip ajoute encore plus d'humour à une histoire qui n'en manque pas, une fin du monde donc, mais avec le sourire. Et avec Mère Entropie, une sorte de virus alien et végétal, qui se répand à travers l'univers. Pour ce faire, elle a besoin d'un nouvel hôte, et elle le trouvera parmi les Gardiens, après leur avoir fait subir une série de tests, visant à trouver le réceptacle parfait. Rien que pour voir Pip le troll "enceinte" ça en vaut la peine.  Le seul problème avec cette histoire, c'est que comme dit précédemment, elle n'aura absolument aucune influence sur le reste de l'univers Marvel. On se paye une bonne tranche de divertissement, mais ça s'arrête là. Au dessin nous avons Alan Davis, un des artistes les plus appréciés des fans, dont le travail peut-être de très très grande qualité. Ici il alterne le très bon, avec le beaucoup plus discutable, comme par exemple certains visages, celui de Star-Lord (qu'il tente de faire coïncider beaucoup trop avec la version cinéma) ou celui de Gamora (qui perd une grande partie de son charme et en devient par endroits disgracieuse). Toutefois je m'attendais à bien pire, je pensais qu'il s'agirait d'une sortie totalement dispensable, vite lue vite oubliée, mais au moins, elle a le mérite sur le moment, de faire passer une agréable petite heure avec les Gardiens de la galaxie. 

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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois