Titres DC Comics sortis le 3 janvier 2018

Chaque semaine, nous vous proposons des critiques rapides des séries publiées par DC Comics que nous suivons régulièrement. Cette semaine, on parle de Batman, Green Arrow et Justice League.

Titres DC Comics sortis le 3 janvier 2018Batman #38

DC Comics * Par Tom King & Travis Moore * $2.99
Il fallait bien que ça arrive: après 37 excellents numéros, Tom King rend un numéro un peu décevant. Cette réécriture des origines de Bruce Wayne (un orphelin, des parents assassinés, un majordome) est certes bien construite, mais elle n'apporte pas grand chose. On voit venir à 10 kilomètres les rebondissements, c'est très classique, et dans l'immense fresque construite par l'auteur, cela risque de n'avoir aucune importance. C'est cependant un numéro plaisant, sans aller plus loin, et on pardonnera. Surtout que Travis Moore fait un travail solide et intéressant, avec un Batman vraiment impressionnant. - Toine Reynolds

Titres DC Comics sortis le 3 janvier 2018Green Arrow #36

DC Comics * Par Benjamin Percy & Juan Ferreyra * $2.99
À la suite d'un précédent numéro un peu en deçà et sans surprise, Green Arrow reprend des couleurs. Il se passe BEAUCOUP de choses dans ce numéro, alors que l'affrontement direct entre Ollie et ses ami⋅e⋅s commence véritablement ici. Le numéro est un peu bavard, mais Benjamin Percy appuie vraiment sur l'accélérateur et la conclusion se profile, avec son lot de terribles conséquences. Tout cela n'empêche Juan Ferreyra d'être encore impressionnant. Le monsieur sait tout faire, et le fait très bien!

Justice League #36Titres DC Comics sortis le 3 janvier 2018

DC Comics * Par Christopher Priest & Pete Woods * $2.99
C'est officiel, on reprend de nouveau du plaisir à la lecture de Justice League ! Christopher Priest use (et abuse peut-être un peu) des ellipses pour dynamiser son récit, et on ne s'ennuie vraiment pas. Ici, pas de menace alien gigantesque, ou de méchant surpuissant, mais bien quelqu'un d'insaisissable, de plus vicieux, et de finalement plus dangereux. On a presque l'impression de lire un titre différent, loin de Geoff Johns ou de Bryan Hitch, et ça fait vraiment plaisir. Il faut maintenant réussir la conclusion, car si la dernière scène dévoile enfin partiellement son méchant, il s'agirait de réussir à l'écrire correctement.


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois