Lus dans le train #17

C’est l’heure du rendez-vous mensuel « Lus dans le train » ! 
Je vous rappelle un peu le concept, qui a été créé par Les Lectures de Mina. :

Lus dans le train #17

« Pour tout ceux et toutes celles qui ont l’habitude de prendre les transports en commun, nous croisons souvent d’autres passagers plongés, eux aussi, dans un roman. Une belle échappatoire pour sortir de notre train-train quotidien. Et je vous avoue, j’ai tendance à jeter un coup d’œil sur la couverture du livre et le titre. Et pour ceux qui retiennent mon attention, je les note sur mon portable.
On ne sait jamais: si c’était un futur coup de cœur ? »

Lus dans le train #17

De retour… Et oui, encore en retard !

Oui, je sais que mon timing est assez bancal pour le moment. Je pense que l’une de mes résolutions pour l’année 2018 sera d’être à l’heure… Enfin, essayer 😛 ! Bref ! Et si nous voyons un peu quels livres, j’ai croisés dans le train et le métro.

Lus dans le train #17

Lus dans le train #17PLAYGROUND, de Lars Kepler ( Actes Sud, 2017 )

«Forte d’une expérience de mort imminente, une mère tente désespérément de sauver son fils de cinq ans, mortellement blessé lors d’un accident de voiture. Elle sait ce qui l’attend de l’autre côté, et qu’il ne s’en sortira jamais tout seul. Une seule solution : accompagner son fils dans la mort. Mais dans la salle d’attente entre la vie et la mort, leurs destins vont se déterminer sur le terrain de jeu – véritable théâtre des horreurs.
Bienvenue dans le far west de l’au-delà..
»

  • Lorsque vous prenez le train pour aller au travail et que, quand vous asseyez, votre regard tombe sur cette couverture, votre curiosité s’emballe… Bien sûr, après un léger frisson. Lars Kepler est un auteur que l’on cite beaucoup côté thriller. Peut-être une occasion pour moi de découvrir sa plume.

Lus dans le train #17

Lus dans le train #17

JE TE DOIS TOUT LE BONHEUR DE MA VIE: VIRGINIA & LEONARD,  de M. J. Arlidge (Le livre de Poche, 2017)

«Bloomsbury m’enchante, il est la vie même. »

Dans un récit inédit, vivant et abondamment illustré, Carole d’Yvoire raconte les premières années et la rencontre de deux êtres fascinants : Virginia Stephen et Leonard Woolf, dont l’union sera symbolisée en 1917 par la naissance de la maison d’édition Hogarth Press.
Sont ainsi célébrés dans ce texte émouvant une période activité artistique foisonnante et ceux qui, face au tragique, choisissent l’affirmation de la vie, d’une « vie intense et triomphante »

  • Peut-être un bon premier pas pour découvrir l’histoire de cet illustre couple. D’ailleurs, j’ai décidé de lire un ou deux romans de cette autrice dans les mois à venir.

Lus dans le train #17

Lus dans le train #17

LA VAGUE, Todd Strasser  (Pocket, 2009)

«Cette histoire est basée sur une expérience réelle qui a eu lieu aux Etats-Unis dans les années 1970. Pour faire comprendre les mécanismes du nazisme à ses élèves, Ben Ross, professeur d’histoire, crée un mouvement expérimental au slogan fort : « La Force par la Discipline, la Force par la Communauté, la Force par l’Action. » En l’espace de quelques jours, l’atmosphère du paisible lycée californien se transforme en microcosme totalitaire : avec une docilité effrayante, les élèves abandonnent leur libre arbitre pour répondre aux ordres de leur nouveau leader, lui-même totalement pris par son personnage.
Quel choc pourra être assez violent pour réveiller leurs consciences et mettre fin à la démonstration ? »

  • J’avais découvert cette histoire lorsque je m’amusais à faire des recherches sur  différentes expériences telles que celles de Milgram et de Stanford. Elles m’ont conduit à l’adaptation du roman qui a réussi à me faire pas mal cogiter. Jusqu’où peut aller l’être humain par obéissance face à une autorité et l’effet de groupe ? Je vous invite vivement à le lire, si ce n’est pas encore fait.

Lus dans le train #17

Lus dans le train #17

L’EVEIL DES CHIMERES,  d’ Eric Amon (Leha Roman,  2017)

« Qui a dit que les monstres n’avaient pas d’âme ?
Dans un monde dominé par les humains, où la magie est à peine plus qu’un soupir, les créatures mythiques de l’ancien temps (sphinx, minotaure, manticore, hydre, faune…) essaient tant bien que mal d’exister.
Dans cet univers imaginaire et extraordinaire, quand elles ne sont pas simplement considérées comme de pures fictions, elles passent désormais aux yeux des hommes pour des monstres.
Le sont-elles toutes vraiment ?
 » 

  • Là encore, je fus tout de suite attirée par la couverture. Ce n’est pas souvent que j’ai l’occasion de croiser Méduse, la Gorgogne dans les transports ! Si vous êtes férus de mythologie grecque et romaine, il a peut-être des chances de vous plaire.

Lus dans le train #17

Il est clair que la liste n’est guère dans « l’esprit de noël ! D’ailleurs, beaucoup préparent de petites listes de roman pour être dans l’ambiance, par exemple, des romances de Noël. Est-ce le cas pour vous ?  En tout, je vous souhaite de très belles lectures pour cette fin d’année et je vous dis à très vite.

(Image à la une de Ji-hyuk Kim )



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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois