Je serai en vacances mercredi prochain. Enfin. Et du 14 au 30 juillet, puisque madame travaille (la pauvre), je reste à la maison avec mes trois pépettes. Chouette, youpi, l’occasion de lire jusqu’à plus soif. En théorie. Sauf que. Il va y avoir du « Papa, on fait un puzzle ? », « Papa, on joue à la dinette ? », « Papa, on fait un gâteau au chocolat pour le goûter ? », « Papa, on va à la piscine ? », « Papa, on va au cinéma ? », « Papa, y a truc que je comprends pas dans mon cahier de vacances », « Papa, j’ai invité Lilou cet aprem, sa mère l’amène à 11h, qu’est-ce qu’on mange ? », « Papa, tu oublies pas que je commence mon stage d’équitation cette semaine ? ». Il va aussi y avoir la pelouse à tondre, les rosiers à rafraîchir, ce jardin dont je ne me suis pas occupé ces dernières semaines à cause d’une météo capricieuse et qui ressemble à une jungle. Et puis j’ai promis de repeindre tous les volets. Comme chaque été. Mais cette fois je compte vraiment m’y mettre. Donc pour la lecture jusqu’à plus soif, je repasserai. Ou j’attendrai les « vraies » vacances loin de la maison à partir du 31.Alors pour ces deux semaines bien occupées, je vais rester modeste et me pencher sur le cas de ce pavé (ce parpaing même) que beaucoup considèrent comme un chef d’œuvre. Un cadeau de blogueuse reçu pour mes 40 ans. Que j’avais entamé l’an dernier et laissé en plan car je n’avais pas pu lui accorder l’attention qu’il mérite. J’en avais lu un bon tiers mais je vais tout reprendre à zéro. 800 pages en 16 jours. 50 pages par jours. Raisonnable. Très jouable même. Mais pas gagné d’avance, je me connais. Et je connais mes pépettes. Ma pal de début de vacances se réduira donc à seul titre. Mais quel titre ! Hâte d’être à mercredi soir pour la peine, et pas que pour Confiteor d'ailleurs…

