Clary n'en croit pas ses yeux. Elle vient de voir le plus beau garçon de la soirée commettre un meurtre. Et, détail terrifiant : le corps de la victime a disparu d'un seul coup !
Mais le pire reste à venir... Sa mère est kidnappée par d'étranges créatures et l'appartement complètement dévasté.
Sans le savoir, Clary a pénétré dans une guerre invisible entre d'antiques forces démoniaques et la société secrète des Chasseurs d'Ombres... Une guerre dans laquelle elle a un rôle fatal à jouer.
Ayant adoré le film, il fallait absolument que je lise cette saga !
Donc, dans ce premier tome, on est très vite embarqué dans l'histoire : on va découvrir Clary et Simon, qui sont amis. Puis, on fait la connaissance d'un de mes personnages préférés, Jace. Je l'ai tout de suite adoré (pas pour son physique, hein) pour son courage, sa façon d'être, et surtout pour son sens de l'humour très particulier. Puis, on découvre les autres personnages un à un : Alec, Magnus (mon deuxième personnage favori), Isabelle, et tous les autres. Malgré le fait que Clary soit un des personnages principaux, je ne l'aime pas du tout (généralement, je n'aime pas les personnages féminins dans les livres), quand à Simon, n'en parlons même pas.
L'univers du livre est très riche : il y a pleins de créatures différentes (loups-garous, vampires, anges, etc) ; le monde des Shadowhunters est bien décrit, avec une élite à leur tête, le système des runes magiques. L'ensemble est très bien mené, sans tomber dans les clichés des créatures qui s'y trouvent.
L'intrigue est très prenant, on se rend compte qu'il va se passer beaucoup de choses et pas seulement dans ce tome.
Mon seul problème, c'est que j'ai vu le film avant de lire le livre et je suis déçue de la fin, je ne me rappelait pas que l'histoire se finissait comme celle du livre dans le film ; après, vérification, effectivement, le livre et le film ne se finissent pas de la même façon.
C'est donc un grand coup de cœur pour ce premier tome.
Cassandra Clare / Pocket Jeunesse / Pocket Jeunesse / 2013 / 570 pages.
