Cupidon malgré moi par Blandine P. Martin

Bonjour,

Aujourd’hui je rentre direct dans le vif du sujet (je dois vous gavez à force avec le boulot et la famille :) )

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4ème de couverture

Cupidon, c’est moi. Enfin, mon véritable nom, c’est Antoine. Non ce n’est pas une blague de mauvais genre, ni même une méthode de séduction douteuse. Je suis né ici, à Epsilem, un lieu que seuls les anges peuvent atteindre et voir. Je ne connais pas mes parents, à vrai dire, je ne sais même pas si j’en ai. Des nourrices m’ont élevé, et, sans me demander mon avis, on m’a confié cette fichue mission : faire en sorte que les humains trouvent l’amour. C’est pas de bol ! Moi qui ne peux pas les voir en peinture ! Ils sont idiots, grossiers et superficiels. C’est donc, contre ma volonté, que je suis devenu missionnaire d’un sentiment que je ne connais même pas ! Pour mon anniversaire, la tradition veut que je prenne en charge un humain désespéré. La mission s’avère bien plus complexe que prévu quand j’apprends que la personne dont je suis chargé s’avère être une jeune femme gravement malade. Me voici donc parti pour la Thaïlande profonde…

Mon avis

Ben voilà quelques heures m’ont suffit pour lire ce roman. :)

Je ne fais pas en faire de grandes éloges, mais j’ai passé un excellent moment de détente. L’écriture est fluide, le style est simple et pour ma part je suis rentrée facilement dans l’histoire.

Et, si mes souvenirs sont bons, l’auteure n’en attendait pas plus ;) .

Pour les coquilles, dés le début de la lecture, Blandine P. Martin m’en avait informé et s’était excusée ce qui m’a permis de passer outre :) .

Mila est une jeune femme touchante, une combattante forte et fragile à la fois . Quand à Antoine, ne m’a interpellé que par son regard sur les mondes.

Après j’avoue que ce qui m’a le plus intéressé ce n’est pas l’histoire en soit, car on sait déjà comment ça va se finir, mais plutôt la perception du monde (ou plutôt des mondes).

Je m’excuse par avance si la suite de mon propos manque de clarté (je reste à votre disposition pour tenter de m’expliquer ;) )

Antoine (l’ange) juge de manière négative l’ensemble, le tout (Ange ou humain) sans prendre en compte l’individu, le un. Au fur et à mesure du livre l’unité prend sa place dans le tout et le regard change. Certes l’ensemble n’est pas parfait mais chaque individu à du bon :D

Les thèmes de la maladie, de la souffrance et de la mort (surtout de la tristesse de ceux qui les entourent) sont traités avec délicatesse et tact.

J’aime beaucoup Homler et sa philosophie de vie sous-jacente!

Voilà, la romance n’étant pas ma lecture de prédilection, j’aurais peut-être aimé un peu plus de fantaisie mais ce n’est qu’une question de point de vue

Bonne lecture ! <3"><3"><3 :D

PS : je me demande si l’auteure est allée en Thaïlande et si c’est le cas elle a rencontré des gens charmants ;) …mais la chaleur !!! ;)


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois