Le Tour du Monde en quatre-vingt jours.

PRESENTATION DE L'AUTEUR :

Après avoir obtenu ses baccalauréats en Lettres et en Droits, Jules Verne poursuit ses études de droit à Paris. Il se consacre alors au théâtre, grâce aux Dumas père et fils, et occupe le poste de secrétaire du Théâtre Lyrique jusqu'en 1854 où il fait représenter des pièces écrites en collaboration avec Michel Carré. Pour faire face à de nouvelles responsabilité familiales, il devient agent de change. Jules Verne rencontre alors Pierre-Jules Hetzel, un éditeur, et lui propose un manuscrit, Voyage en l'air, qui deviendra Cinq semaines en ballon, marquant le début d'une longue collaboration. Ses romans sont regroupés, à partir de 1866, dans une collection illustré qui porte le titre général de Voyages extraordinaires dans les mondes connus et inconnus. Le Tour du Monde en quatre-vingt jours est publié en feuilleton en 1872 et devient le plus grand succès de l'auteur. Les œuvres de Jules Verne sont traduites dans de très nombreuses langues, une véritable consécration.

Le Tour du Monde en quatre-vingt jours.

Editeur du livre : Pocket.

Edition du livre : Pocket.

Date d'édition du livre : 2009.

Nombre de pages : 295.

QUATRIEME DE COUVERTURE :

L'impassible Philéas Fogg n'a jamais dépassé le coin de sa rue et de son club londoniens. Mais, à la suite d'un pari, escorté de Jean Passepartout, son sémillant domestique français, il se rue, de trains en paquebots, de railways en railroads, pour boucler le tour du monde avec une allégresse et une audace étourdissantes. Réussit-il son défi ? Le lecteur ne le saura pas avant la dernière ligne...

Ce voyage féérique est le premier best-seller des temps modernes. Dans sa bibliothèque picarde, Jules Verne, ce lecteur de prospectus, ce fonctionnaire du rêve, prophétisait notre siècle de vitesse et notre village planétaire.

J'ai bien aimé cette histoire en fond : vouloir tenter un tour du monde en un temps record. Néanmoins, je n'ai pas apprécié le fait que cette histoire se fasse sur un vulgaire pari.

Pour les personnages, que ce soit Philéas Fogg ou Passapartout, je ne les ai pas aimé. Le premier m'a semblé trop "mathématique", il ne transpirait d'aucune émotion, rien. Et le deuxième, je l'ai trouvé stupide : combien de fois je me suis demandé si j'allais lui mettre des baffes.

Avec eux, j'ai appris qu'à cette époque, où l'histoire se déroule, les Anglais ont la grosse tête. J'ai eu l'impression qu'ils voulaient faire savoir qu'ils valaient mieux que les autres peuples et je n'ai pas apprécié.

Pour l'histoire en elle-même, je suis un peu mitigée. J'aime beaucoup le fait de vouloir faire le tour du monde. Malheureusement, pour moi, faire cela, c'est visiter un minimum les pays, pas sauter d'un moyen de transport à un autre sans rien voir.

Comme il me manquait cette partie "découverte" du voyage, je trouve qu'il y avait beaucoup trop de détails inutiles. Surtout ceux tout au long du roman pour nous dire que Philéas Fogg est une personne méticuleuse, qui pense à tout, etc, etc.

Je n'ai pas ressentie l'atmosphère propre à un récit de voyage.

En somme, j'ai été bien déçue par ce tour du monde qui n'en est pas un.


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois