Le jardin noir.

PRESENTATION DE L'AUTEUR :

Née d'un père austro-hongrois et d'une mère germano-polonaise, Christine Arnothy est dès son enfance confrontée à trois langues : l'allemand, le français et le hongrois.

Elle a notamment écrit J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir qui raconte son histoire de jeune fille durant la Seconde Guerre mondiale. Elle a également écrit pour le théâtre, la radio et la télévision.

Chritine Arnothy publie également, durant les années 1980, trois romans noirs sous le nom de plume de William Dickinson.

Le jardin noir.

Editeur du livre : Le livre de Poche.

Edition du livre : Le livre de Poche.

Date d'édition du livre : 2000.

Nombre de pages : 223.

Deauville, un matin d'hiver. Sur les planches désertes, battues des vents, un homme croise une femme et, instinctivement, lui sourit : elle est jeune, elle est blonde, elle est belle. Mais aussitôt elle l'apostrophe "Alors, on ne tient plus ses engagements ? Il était pourtant convenu qu'on me laisserait sans surveillance...". Lui, c'est Yves Barray, universitaire français dans la quarantaine, venu revoir une dernière fois sa maison d'enfance qu'on va démolir. Elle, Sigrid, fille d'un criminel nazi, est poursuivie par une équipe de "vengeurs" qui veulent lui faire dévoiler la retraite de son père.

Ecorchée vive, elle se méfie de tout et de tout le monde. Sclérosé par une vie bourgeoise et rétrécie, il n'espère plus rien.

Entre ces deux êtres, assiégés par la tempête dans la ville en sursis, flambe brusquement un amour fou, un amour d'avance condamné comme les vieux murs qui les abritent. La vie, l'espoir seront-ils plus forts que les bulldozers ? (Livraddict)

On peut dire que je me suis plongée à l'aveugle dans ce roman : il n'y a, sur la quatrième de couverture de mon édition, que des critiques de magazines et aucun résumé.

Comme je n'ai pas lu le résumé de Livraddict avant ma lecture, j'ai eu un souci dès le début du livre parce qu'on commence en pleine conversation entre deux personnages et je ne comprenais pas de quoi ils parlaient. Au fil des pages, je me suis rendue compte que l'histoire n'avait rien d'exceptionnelle, elle était un peu, beaucoup même, ennuyante. J'ai trouvé le rythme très plat, comme si l'histoire n'avançait pas.

Pour les personnages, je ne les ai pas apprécié : je les ai trouvé plutôt bizarre.

Je n'ai pas grand-chose à dire sur un livre qui m'a plus qu'ennuyer et dont je n'ai rien compris. Dommage !


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois