Celle qu’il n’attendait pas

Celle qu’il n’attendait pas

Auteur : Makyo & Luca Casalanguida
Titre : Celle qu’il n’attendait pas
ISBN : 9782413043409
Format numerique – Éditions Delcourt Bande déssinée

4eme de couverture :

Et si une simple maison avait une vocation d’extraordinaire transformation ? Un récit initiatique de Makyo.

Camille passe tout son temps libre devant une grande bâtisse sans que personne ne comprenne à quoi elle rêve. Mais un beau jour, le propriétaire Roland Mars, un vieil écrivain discret, l’embauche pour des travaux subalternes. Construite sur le modèle du temple de Louxor, la maison se révèle être un lieu initiatique duquel la jeune femme ne ressortira pas comme elle y est entrée…

Mon résumé

Je n’avais jamais entendu parler de cette BD, mais le résumé de quatrième de couverture m’a tout de suite intrigué. Une jeune femme est fascinée par la maison d’un auteur reconnu. Un beau jour, elle a l’opportunité de le rencontrer et de pénétrer dans cette grande demeure qui ne ressemble à aucune autre.

Celle qu’il n’attendait pas

Serveuse le soir, Camille passe une bonne partie de son temps libre sur un banc face à la demeure de Roland Mars. C’est un vieil homme, écrivain et philosophe célèbre, dont certains propos ont marqué Camille. Autrefois, bien des années avant sa naissance, sa mère a eu une liaison avec lui, brève, car il était déjà « marié à une maison ».

Celle qu’il n’attendait pas

Mars finit par approcher Camille en lui proposant un curieux marché : s’occuper pendant un mois de la première des pièces, immenses, de sa propriété, en nettoyant quotidiennement le sol et en soignant les plantes qui l’occupent, sans chercher à ouvrir la porte située à l’extrémité de ladite pièce. Si elle franchit cette porte ou si elle parle de cet accord à quiconque, il en restera là.
Ainsi commence, pour Camille, un périple qui l’amènera bien loin de cette maison étrange aux pouvoirs insoupçonnés, et aux confins d’elle-même …

Mon avis

J’ai apprécié les dessins de la BD dont le style rappelle les comics américain.

J’ai lu cette bande dessinée sans réelle difficulté, et il y a quelques réflexions qui m’ont bien plu.
elle qu’il n’attendait pas est de ces one-shot qui, en à peine plus de soixante-dix planches, savent créer un univers en lui donnant sens. Dommage que, dès le départ, il ne fut pas question d’un diptyque, ce qui aurait été l’occasion de s’attarder sur certains passages par trop elliptiques…


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