Sherlock Holmes, tome 2 : Le Signe des Quatre, Sir Arthur Conan Doyle

Bonjour tout le monde !! 🤗

J’espère que vous allez tous très bien en ce samedi. De mon côté oui, paradoxalement alors que c’est la rentrée et reprise pour bon nombre d’entre nous, le soleil grand absent de cet été fait son retour… Ceux qui partent en Septembre sont finalement plus chanceux 🌞

Ne nous attardons pas plus sur le sujet si palpitant de la météo, et passons directement à la chronique du jour. Je l’ai probablement répété de nombreuses fois mais je suis une amoureuse inconditionnelle du personnage de Sherlock Holmes et de son amitié avec John Watson. J’ai déjà lu les nouvelles et romans mais j’apprécie les relire de temps à autre. Auparavant je ne voulais jamais au grand jamais les relire de peur de moins aimer voire détester, finalement ce sont des lectures doudous et je prends plaisir à piocher dedans de temps à autre pour mon plus grand plaisir. J’ai envie de les relire dans l’ordre au fur et à mesure et vous en faire des chroniques.

Ici je vais vous parler du roman Le Signe des Quatre écrit par Sir Arthur Conan Doyle, faisant suite au tome 1 Une étude en rouge. Les tomes sont séparés donc l’ordre de lecture importe peu.

Résumé :

Sherlock Holmes, tome 2 : Le Signe des Quatre, Sir Arthur Conan Doyle

Auteur : Sir Arthur Conan Doyle

Genre : Policier

Édition : Hachette – La bibliothèque verte senior

Année : 1977

Nombre de pages : 180 pages

Titre original : The Sign of the Four

Fait partie de la saga Sherlock Holmes

Le 3 décembre 1878, à son retour des Indes, le capitaine Morstan disparaît sans laisser de trace.
Le 4 mai 1882, un inconnu envoie à sa fille une perle d’une valeur inestimable. Désormais, chaque année à la même date, la jeune fille reçoit une perle identique.
Le 7 juillet 1888, l’inconnu fixe enfin rendez-vous à Mary Morstan, le soir même, à sept heures.
Inquiète, la jeune fille demande à Sherlock Holmes de l’accompagner. Celui-ci accepte. « Simple affaire de routine », pense-t-il. Il ignorait toutefois qu’il avait rendez-vous avec un mort.

Mon avis :

Ce roman policier est assez court puisqu’il ne comporte que 180 pages, ce qui rend donc sa lecture plutôt rapide. Les chapitres sont d’une dizaine de pages sauf le dernier qui faisait 40 pages afin d’expliquer l’envers du décor. L’écriture est fluide donc cela ne pose aucun problème de compréhension dans l’intrigue. Reste qu’il faut tout de même prendre son temps afin de bien lire les détails et subtilités glissés deçà delà.

Pour la petite anecdote, l’auteur, Sir Arthur Conan Doyle a rédigé ce roman en un mois et dans une visée uniquement alimentaire. C’est assez rapide au vu du génie de l’intrigue mais ce qui est cocasse est la présence d’incohérences. En effet, dans le roman Une étude en rouge, John Watson est blessé à l’épaule en Afghanistan alors que dans celui-ci il est fait mention qu’il est blessé à la jambe. Pour ceux qui auraient vu la série britannique Sherlock, c’est la blessure à la jambe qui a été retenu alors que dans les films avec Jude Law et Robert Downey Jr c’est l’épaule.

Cette histoire raconte par le biais d’une affaire la rencontre entre John Watson et Mary Morstan, qui deviendra sa femme. Je dois avouer que j’avais oublié ce détail. Je savais qu’il se mariait à un moment ou un autre mais je ne savais plus quand. Ça m’a fait plaisir même si évidemment nous sommes dans un roman policier et la romance est en détails par-ci par-là.

En ce qui concerne plus à même le contenu du roman, nous sommes au cœur d’une affaire qui peut paraître simple à première impression et qui dans les faits est plus complexe. Mary Morstan vient consulter notre détective britannique préféré car depuis 4 ans elle reçoit une fois par an une perle et ce depuis la mort soudaine de son père 10 ans plus tôt en revenant des Indes. Ce qui l’intrigue est qu’elle a reçu une lettre lui donnant rendez-vous le soir et où elle y fera la rencontre d’un curieux personnage.

L’enquête est fascinante, nous voyions de près le génie de Sherlock Holmes faire effet et sa science de la déduction mise en exergue. Les faits sont au départ sans grande complexité mais plus le temps passe plus des éléments nouveaux sont à prendre en compte. Il y a beaucoup de rebondissements donc nous ne nous ennuyons pas du tout. C’est même drôle parfois notamment avec le sarcasme de Sherlock Holmes que j’aime pour sa finesse. L’inspecteur de police est tourné en dérision et rien que sa description physique ridicule. Comme dans tout Sherlock Holmes, ce n’est qu’à la fin que nous comprenons l’ensemble de l’intrigue. Et là, comme Watson nous sommes surpris de la simplicité des déductions, caractéristiques de la beauté du roman et du talent du détective.

Le Signe des Quatre est le deuxième roman sur Sherlock Holmes. Tout comme le premier, il emmène le lecteur se balader intellectuellement à la recherche d’indices et de pistes pour élucider l’affaire. Evidemment, à l’image de l’ensemble de la saga, nous n’arrivons pas à trouver. Ce vif intérêt nous pousse à tourner les pages avec rapidité et entrain. Je ne peux que vous inviter à plonger dans l’univers holmésien.

Et vous, vous avez lu ce livre ? N’hésitez pas à me dire tout cela dans les commentaires pour que nous puissions en discuter ⬇

Je vous souhaite à tous une très belle journée, prenez soin de vous et à très bientôt 🐥

Laure


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