Les Troubadours #1 – Chant de l’aube – 1150 : Narbonne » Jean Gill

Les Troubadours #1 – Chant de l’aube – 1150 : Narbonne » Jean Gill

Editeur : Autoédition

Les Troubadours #1 – Chant de l’aube – 1150 : Narbonne » Jean Gill

Fuyant sa famille et les mauvais traitements, Estela se réveille dans un fossé sans rien d'autre que son luth, sa voix magnifique et une dague cachée sous son jupon. Ses talents lui attirent un mécène en la personne d'Aliénor d'Aquitaine, et c'est auprès du meilleur troubadour de la reine et commandant de la garde, Dragonetz los Pros, bien plus qu'un maître de musique, que la jeune femme approfondira son art.
Las de la guerre, Dragonetz emploie l'argent des Juifs et l'expertise des Maures à la construction d'une invention des plus modernes, un moulin à papier, réveillant les foudres de l'Église. Leurs ennemis se rassemblent, prêts à mettre le feu aux poudres politiques et religieuses de la Narbonne médiévale.

Les Troubadours #1 – Chant de l’aube – 1150 : Narbonne » Jean GillLes Troubadours #1 – Chant de l’aube – 1150 : Narbonne » Jean Gill

Ce n'est pas la première fois que j'ai l'occasion de lire cette auteure, je partais totalement confiante au souvenir de ma précédente expérience. Cependant, j'ai un peu moins accroché à cette intrigue, ou du moins, je me suis moins sentie immergée lors de ma lecture. Pas que cela sois moins bien, j'ai toujours autant aimé la plume de l'auteure, mais je n'ai pas réussi à me sentir proche des personnages, je n'ai pas ressenti leurs émotions autant que je l'aurais aimé. Malgré tout, j'aime la plume de l'auteure, et je ne risque certainement pas de ne plus la lire !

Par contre, je donne une super point positif pour tout ce qui concerne les descriptions ! Là, je me suis moi-même vue évoluer dans le décor, dans les habitudes de la vie à cette époque, dans les mœurs, dans les difficultés que nous pouvions rencontrer à cette période difficile, dans les croyances, tout ce qui touche à cette époque est très bien retranscrit, et nous n'avons franchement aucune excuse pour ne pas nous sentir totalement immergé à ce niveau du livre.

En fait, j'ai aimé ma lecture, je ne dis absolument pas le contraire. Ce qui me gêne, ce sont certaines comportements que je trouve illogiques. Mais ce n'est peut-être qu'une impression, si c'est le cas, alors il faudra que je me replonge dans ce livre un de ces jours. Pour tout le reste, c'est une jolie histoire, qui nous montre encore une fois, si c'était nécessaire, la condition des femmes à cette époque, encore faudrait-il que les comportements soient totalement différents maintenant, et là, je vous certifie que ce n'est pas le cas, malheureusement !

Les Troubadours #1 – Chant de l’aube – 1150 : Narbonne » Jean Gill Merci à Laure Valentin.

Quoi qu'il en soit, j'ai passé un agréable moment, et c'est ce que je retiendrai, pour le moment en tout cas.


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois