K. 625 - Leonor de Recondo (entre ** pour le fond et *** pour la forme... c'est pas souvent que la forme l'emporte sur le fond)

Voilà j'ai lu K.625 ce très très court livre (40 pages) il y a longtemps et je me suis décidée enfin à parler de cette lecture. Je voulais tester sa résistance au temps. Au final je garde les mêmes images qu'en quittant cet ouvrage : un moment très sympa dans la forme (car Léonor de Récondo écrit divinement bien et il y a des moments lyriques tout jolis) et un peu creux dans le fond (le discours tourne en rond, il m'a manqué du contenu, de la bibliographie, de la recherche). K.627 a été une commande de la maison d'édition Malo Quirvane à Léonor de Récondo, et j'ai toujours le sentiment - peut-être à tort - que l'autrice s'est contentée du minimum, qu'elle s'est constamment retenue.

K. 625 - Leonor de Recondo (entre ** pour le fond et *** pour la forme... c'est pas souvent que la forme l'emporte sur le fond)

K.626 relate les affres de création de Franz Xaver Süßmayr chargé de finir le requiem de Mozart : qu'il est dur de compléter l’œuvre d'un génie ! K.626 narre les incertitudes, la peur de la page blanche, la fuite à défaut de fugue, la quête de musique à défaut d'amour. 

À noter que le livre est un ouvrage de qualité : le papier est sublime, très classe.

Éditions Malo Quirvane

Je dois cette lecture à la Masse critique de Babelio en partenariat avec la maison d'édition Malo Quirvane : je les remercie.


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois