Avec ce second arc, Hajime Kamoshida pousse plus en profondeur son étude du mal-être lycéen. En utilisant le « syndrome de la puberté », ce phénomène surnaturel transformant les soucis de certains jeunes en pouvoirs aussi incontrôlés qu’indésirés, il fait ressortir avec tact et habileté les problèmes sous-jacents de la société qui les entoure, sans pour autant jamais sombrer dans la redite. Après nous avoir dépeint le portrait d’une fille cherchant à s’isoler, il met cette fois en scène la vie sociale d’une jeune fille dépassée par les contraintes imposées par sa relation avec ses amies et par les luttes d’influence au sein de sa classe.

➤ Tome précédent : Bunny girl senpai 1  Bunny girl senpai 2 Little devil kohai 1

Saga terminée

4.5/5 – UN DEUXIÈME ARC QUI SE TERMINE EN BEAUTÉ

J’ai aimé : L’émotion et l’humour
J’ai moins aimé : –

Je remercie les Éditions Ototo pour l’envoi de cette lecture. Rascal does not dream, c’est une saga bourrée d’émotion, retrouver le deuxième tome de ce second arc était un pur bonheur !

Sakuta se retrouve impliqué dans les effets de syndrome de puberté de la jeune Tomoe. Pour se faire et l’aider à se défaire de ce problème, qui lui fait créer des journées en boucle, Sakuta lui propose d’être son faux petit ami pendant un trimestre.

Le personnage de Tomoe est extrêmement touchant. J’aime énormément cette saga de par la manière dont elle aborde les douleurs et problèmes de l’adolescence aux travers ce fameux syndrome de la puberté.

Dans ce tome on y retrouve humour et dialogue bourré d’émotion. Une alternance vraiment bien menée, qui m’a arraché quelque larme !

En bref, c’est un second tome qui m’a beaucoup ému. Je ne saurais dire si j’ai préféré le premier où le deuxième arc, mais une chose est sûre, ce manga est magnifique.

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Rascal does not dream of little devil kohai, tome 2