Plusieurs en un…

Voici un choix éclectique de livres que j’ai lus mais pas chroniqués, par manque de temps, manque d’idées, manque d’inspiration. Je vous envoie vers des blogs qui en parlent bien mieux que moi.

Plusieurs en un…

2030, Philippe Djian, Flammarion, septembre 2020

Avec Djian c’est « je t’aime moi non plus », j’ai adoré certains titres, j’ai aimé certains autres et il y en a que je n’ai pas aimé (dans ses dernières productions). Et celui-ci, me direz-vous ? C’est une sacrée belle réussite. Un certain regard sur l’écologie (c’est rare chez Djian), un focus sur une relation amicalo-amoureuse comme il sait si bien le faire et une chute parfaite, comme je les aime.

Le bouquineur en parle très bien.

Plusieurs en un…

Peau d’homme, Hubert et Zanzim, Glénat, avril 2020

Une BD admirée, adulée, par une grande majorité. A juste titre. Si j’ai d’abord eu du mal avec le graphisme, finalement, je m’y suis faite et ai même réussi à l’apprécier. Quant au scénario, il est très sympa. C’est drôle, cocasse, et un peu barré et un poil féministe.

Noukette et Mo’ ont beaucoup aimé.

Plusieurs en un…

Le dernier voyage, Irène Cohen-Janca, Maurizio A.C. Quarello, Editions des éléphants, 2015

Album sombre et terriblement émouvant. Des illustrations superbes tout en couleur sépia. Cette histoire, c’est celle du docteur Korczack et de ses enfants orphelins, dans le ghetto de Varsovie. Un récit nécessaire pour les enfants à partir de 11 ans.

Nadège vous laisse entrevoir quelques illustrations.

Plusieurs en un…

Ohio, Stephen Markley, Traduit par Charles Recoursé, Albin Michel, août 2020

J’ai gardé Ohio pour la fin. Une déception, une énorme déception pour moi. Je suis passée complètement à côté. La lecture fut fastidieuse, je m’y suis ennuyée ferme. Bon d’accord, les deux dernières parties m’ont davantage intéressée mais sans plus. Pourquoi cet échec ? Je ne me sentais pas concernée, le premier personnage m’a exaspérée au plus haut point, et puis je ne sais pas… Et pourtant, le glauque, le noir, c’est ma came, d’ordinaire. Je reconnais la qualité de la construction, j’ai même aimé certains passages pour leur écriture ou leur contenu passionnant. Mais cela n’a pas suffi. D’aucuns ont comparé cet auteur à Jonathan Franzen… et bien, justement, je n’ai lu qu’un roman de cet auteur, et je m’y suis enquiquinée, je crois même que j’ai survolé la fin. Bref ! Quand ça le fait pas, ça le fait pas ! J’aurais tant aimé l’aimer… Ça vous arrive à vous aussi ?

Je vous envoie vers Ceciloule et Jostein dont les avis sont à l’opposé du mien.


wallpaper-1019588
Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois