Les chroniques express sont là pour parles des nouvelles, des énièmes tomes sans
se répéter de trop, des ouvrages lus il y a longtemps. Aujourd’hui, faisons place à :
La Venin, Tome 2
Vingt-quatre heures de la vie d’une femme
In the Tall Grass
La Venin, Tome 2 : Lame de fond
Déluge de feu était délicieux, une déclaration d’amour au genre piquée d’éléments le faisant évoluer, l’héroïne de Laurent Astier dépotait, il n’y avait que du bonheur à la clé. Lame de fond, c’est simple, c’est pareil, tout en étant encore plus beau, encore plus fort, encore plus tout. Les planches qui subjuguent, le scénario qui prend aux tripes, une Emily magnifique – blessée mais forte, sensuelle, plus déterminée que jamais – c’est rugissant et jouissif.
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In the Tall Grass
In the Tall Grass est une nouvelle de Stephen King et son fils, Joe Hill. Elle est disponible sur liseuse à un prix symbolique. Dans ce texte terrifiant, un frère et une sœur pénètrent des herbes hautes lorsqu’ils entendent un enfant appeler à l’aide. Étrangement, une femme – la mère du petit – ne veut pas qu’ils les sauve. Rapidement, les jumeaux ne peuvent plus se voir ni s’entendre, du moins pas tout le temps. Des rêves terribles les envahissent. Des rêves ? Ils sont évidemment entrés dans une zone où se déroulent des événements surnaturels. L’horreur s’amuse…
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Vingt-quatre heures de la vie d’une femme
Vingt-quatre heures de la vie d’une femme est une nouvelle de Stefan Zweig. Plutôt, c’est une nouvelle dans la nouvelle. Lorsqu’une femme de la haute bourgeoisie laisse mari et enfants pour fuir avec un homme plus jeune, les avis divergent parmi les occupants d’un hôtel particulier. Une femme d’un certain âge raconte alors au narrateur une expérience qu’elle a vécue et qu’elle regrette amèrement. L’histoire, les idées, le propos de l’auteur sont pertinentes et amènent à d’intéressantes réflexions. L’écriture, aussi belle et intelligente soit-elle, a un côté désuet qui doit cependant réussir à séduire pour fonctionner sur le lecteur.
Bonne lecture à tous !
éèé