Dans mon village on mangeait des chats

Dans mon village on mangeait des chats

Ce que j’en pense:

Philippe Pelaez signe à nouveau un scénario bien ficelé. Le rythme est haletant et monte en puissance au fur et à mesure de la lecture. Très violent et critique envers notre société, cette BD met en scène un personnage ambivalent Jacques.
Les illustrations de Porcel s’accordent parfaitement avec le scénario. L’esthétique est dure et les couleurs sombres.
Une belle BD!

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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois