Comme il m’est très pénible d’écrire un billet d’une seule main, j’ai limité ma modeste production aux pépites jeunesse partagées avec Noukette. Il faut dire aussi que j’ai eu la main particulièrement malheureuse concernant mes lectures ces deux derniers mois. J’ai voulu bien faire en piochant des titres prenant la poussière depuis trop longtemps sur mes étagères. Mauvaise idée...
Voici donc un rapide et succinct tour d’horizon de ces déceptions à répétition.
Vraiment pas indispensable.
Du temps où j’étais mac d’Iceberg Slim (traduit de l’américain par Clélia Laventure). Belfond, 2015. 215 pages. 15,00 euros.
Franchement, je n’ai jamais lu un récit de voyage aussi assommant. Mais vraiment…
En canoë sur les rivières du nord de Robert Louis Stevenson (traduit de l'anglais par Léon Bocquet). Actes sud (Babel) , 2005. 200 pages. 7,70 euros.
Une recette appréciée trop souvent servie, on finit par s’en lasser…
Diable rouge de Joe R. Lansdale. Denoël, 2013. 315 pages. 19,90 euros.
Emmaüs d’Alessandro Baricco (traduit de l'italien par Lise Caillat). Gallimard, 2012. 135 pages. 15,90 euros.
Voila. Quatre tentatives et quatre ratés. Un sans faute en somme. Heureusement, je me suis refait la cerise depuis. Avec des nouvelles de grande qualité. Je vous en reparle bientôt. Ou pas.