Chroniques en pagaille

Bonjour tout le monde,

Aujourd’hui je ne vous parle pas d’un livre mais de 4 et dans 4 genres différents. Pourquoi se mixe ? Tout simplement parce que je n’ai pas grand chose à dire sur chacun d’entre eux.

Vous connaissez ce sentiment…. lire un roman, trouvez que la plume est agréable et donc continuer à tourner les pages alors que l’histoire ne vous accroche pas, parfois vous vous demandez même quel but à le roman ? Ben voilà, c’est ça….j’ai pris plaisir à lire ses 4 histoires mais une fois les livres fermés, elles sont aussitôt oubliées car les émotions n’étaient pas présentes lors de la lecture.

Chroniques en pagaille

À onze ans, Rachel, fille d’une mère danoise et d’un père G.I. noir américain, voit sa vie basculer un triste jour d’été. Un drame dont elle est la seule survivante lui arrache sa famille. Recueillie par sa grand-mère, une femme aussi aimante qu’intransigeante, Rachel découvre bientôt la difficulté d’être métisse dans une société qui donne trop d’importance à la couleur de peau. Mais la véritable nature de la tragédie qui enlise Rachel lui sera révélée par Brick, un jeune voisin qui a assisté à sa chute et qui se retrouve, bien malgré lui, dépositaire du seul fragment de vérité susceptible de libérer la fillette des ombres de son passé. Ce roman d’apprentissage, moderne et poétique, décrit l’envol d’un personnage inoubliable, un être trop doué et trop démuni à la fois.

Mon avis : Le métissage dans la société américaine post apartheid voilà le sujet du roman. Tout s’articule essentiellement autour de deux personnages… Rachel qui grandit et Brick qui sait. Difficile de s’attacher à l’un ou à l’autre, toutefois on tourne les pages pour connaître un peu plus, un peu mieux l’histoire de Rachel. Une fin un peu en queue de poisson mais il fallait bien trouver une chute…

Chroniques en pagaille

À la bibliothèque nationale, un chercher découvre la trace d’un inconnu, Gaspard Languenhaert, homme du XVIII° siècle, qui soutint la philosophie « égoïste ». Selon lui, le monde extérieur n’a aucune réalité et la vie n’est qu’un songe. Intrigué, le chercheur part à la recherche d’éventuels documents.

Mystérieusement, toutes les pistes tournent court. Conspiration ? Malédiction ?

La logique devient folle, cette enquête l’emmène au fond de lui-même, emportant le lecteur avec lui dans des vertiges hallucinants.

Mon avis : En règle générale je suis une adepte de Eric-Emmanuel Schmitt qui, la plupart du temps, me permet de souffler entre des lectures, me donne un coup de boost et me met de bonne humeur…Mais là je me suis perdue dans le côté philosophique et le côté « égoïste » des personnages ne les rends pas attachant…Après la philo, bien qu’ayant fait un bac littéraire, n’a jamais été mon fort.

Chroniques en pagaille

Théo ignore tout du monde extérieur. Selon son tuteur, le docteur Saint, il souffre d’une maladie extrêmement dangereuse pour les autres. Il vit donc reclus depuis sa naissance à Empire Hall, un hôtel particulier de Londres. Mais, une nuit, son quotidien si prévisible bascule. Des cambrioleurs le réveillent et lui ordonnent de les guider dans la grande maison. Stupéfait, Théo découvre alors, dans une pièce secrète, la photographie d’un homme, appelé l’Incandescent, qui lui ressemble trait pour trait… Quand la police arrive, un des voleurs s’affole et tente de tuer le garçon. En se défendant, celui-ci touche son agresseur, dont le corps se met à luire avant de fondre… Choqué, Théo se pose des questions et décide de s’enfuir. Ce qu’il découvrira ébranlera à jamais sa vision du monde… Un roman fantastique où deux sociétés secrètes s’affrontent dans les entrailles de la terre, peuplées de créatures antédiluviennes… Mon avis : C’est sympa, ça se lit bien…de l’action, un gamin sympathique, un vrai méchant tordu et manipulateur….beaucoup de chance, des animaux magique. Bon en gros rien à reprocher sauf qu’il manque l’étincelle pour avoir envie de lire la suite. Chroniques en pagaille Constantin est infiniment disponible, doux et tellement dangereux. Il a vu tant de choses que » plus rien ne le touche. Revenu à Washington après dix-sept années d’errance à travers monde, il joue une nouvelle fois son destin où d’autres ne feraient que passer. Il suffit parfois d’un rien, de lever le pouce sur une route déserte et de monter avec un inconnu… Il suffit d’un peu de désespoir et de beaucoup de temps. Mon avis : Quand je lis un polar, je m’attends à ce qu’il se passe quelque chose….mais là rien. On suit juste les divers personnages pendant les 3/4 du roman. Notre « héros » est un anti-héros qui se fout absolument de tout ce qui l’entoure. Puis sur la fin il se passe enfin quelque chose….version rapide et efficace 😀 ! Voilà ! Voilà ! … Vous pourrez retrouver ces 4 romans sur la boutique en ligne de l’Imaginarium 😉 Bonne lecture ! ❤ What do you want to do ?

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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois