Bilan mensuel · février 2020

Bilan mensuel · février 2020
Malgré ma grippe passée, qui a accaparée une bonne partie du mois, on peut dire que février a été fertile côté lectures. J’ai lu, mes ami(e)s, j’ai lu. Au compteur, six romans, un recueil de nouvelles, un petit essai des plus inspirants et un excellent roman graphique et demi, le demi étant celui de Joe Sacco, que je déguste au compte-gouttes, tant il est riche.

Bilan mensuel · février 2020J’ai lu des pépites, en février, dont deux retrouvailles attendues: David Vann et Richard Krawiec à leur meilleur. La lecture de Il se pourrait qu’un jour je disparaisse sans trace m’a captivé du début à la fin. Idem pour On ne pleure pas au bingo. Des voix fortes, des mots saisissants. 
Je reparlerai sous peu de Champion de Maria Pourchet, parce qu’il m’a fait une très forte impression. Je reparlerai aussi du nouveau roman de Christine Eddie, Un beau désastre. Et comment une phrase, une seule, peut donner envie de refermer un livre. Je ne parlerai pas du recueil de Matthew Neill Null, parce que sur les neuf nouvelles lues, je n’en ai véritablement apprécié que trois. Un recueil trop inégal à mon goût, mais un style puissant et remarquable, d’où le fait que, malgré mon manque d'enthousiasme, je l’ai lu d’une traite.

J'entame le mois de mars avec le dernier roman de Marcus Malte, Aires. Malgré ses presque 500 pages, je peux déjà te dire qu’il ne fera pas long feu, tellement je suis scotchée...

Et toi, ton mois de février s’est passé à ton goût côté lectures?


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois