2018, 1968, 1959. Trois époques et un même lieu, trois parties qui n’en font qu’une. D’abord le présent, ensuite le moment où les grands parents ont acquis la maison et enfin un coup de projecteur sur les propriétaires précédents et leur douloureuse histoire. Un roman graphique qui se veut positif malgré ses personnages bousculés par les aléas du destin. La construction alternant entre les époques est facile à suivre et toutes les pièces du puzzle s’imbriquent avec fluidité. Rien de révolutionnaire niveau scénario mais le but est atteint, on s’attache à tous les protagonistes et l’empathie ne fait que grandir au fil des pages.
Au final un joli roman graphique tout en pudeur et en émotion contenue. Simple et imparable !
La maison de la plage de Séverine Vidal et Victor L. Pinel. Marabulles, 2019. 160 pages. 17,95 euros.
L'avis de Noukette