Piège à la Bastille

Juin 1789, Gabriel est apprenti imprimeur et sur le point de demander Virginie, la fille de son patron, en mariage. Malheureusement, Gabriel est arrêté et accusé d’avoir rédigé un pamphlet sur de drôles de mœurs pratiquées par la reine. Embastillé sur la champ, il ne peut pas se défendre. Car s’il a bien écrit et imprimé ce torchon, c’est sous la contrainte uniquement. Très vite, la seule solution qui s’ouvre à lui est celle de s’évader. Aidé par une détenue avec laquelle il communique depuis sa cellule et qui veut elle aussi s’enfuir, il décide de tenter le tout pour le tout. De son côté, Virginie fait de son mieux pour faire éclater la vérité. Dans les rues, le peuple commence à montrer sa colère. Le compte à rebours jusqu’au 14 juillet a commencé.

Piège à la Bastille est un roman de Catherine Cuenca dans lequel elle manie parfaitement, comme à son habitude, le pétillant mélange de la réalité et de la fiction. L’auteur du Passage des lumières, du Mystère de la Tête d’Or ou de Celle qui voulait conduite le tram a préparé l’aventure avec soin, la raconte avec finesse. L’intrigue suit différent personnages, change donc régulièrement de point de vue. Elle est dangereuse et ne connaît aucun temps mort. Amour, complots, colère, liberté d’expression, parfum de révolution s’allient pour faire passer un moment plein d’entrain et de suspens.

Piège à la Bastille

Présentation de l’éditeur :
Paris, juin 1789. Gabriel, jeune apprenti imprimeur, est heureux : il s’apprête à demander la main de son amoureuse Virginie à son père, l’imprimeur qui l’emploie. Or on l’accuse d’être l’auteur d’un pamphlet injurieux contre la reine ! Le voilà arrêté et embastillé. Le pire, c’est qu’il a bel et bien imprimé ce pamphlet… sous la contrainte. Du fond de son cachot, alors que tout le désigne comme coupable, il ne peut prouver son innocence. Il n’a d’autre choix que de s’évader. Mais peut-on seulement s’évader de la terrible Bastille ?

Piège à la Bastille

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