#GuillaumeMusso #UnAppartementAParis
Quelques infos sur le livre :
Un appartement à Paris 
" L'art est un mensonge qui dit la vérité... "Paris, un atelier d'artiste caché au fond d'une allée verdoyante.
Madeline l'a loué pour s'y reposer et s'isoler. A la suite d'une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gabriel, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude. Ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelques jours.
L'atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz et respire encore sa passion des couleurs et de la lumière. Terrassé par l'assassinat de son petit garçon, Lorenz est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd'hui disparus.
Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d'unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.
Mais, pour percer le véritable secret de Sean Lorenz, ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête tragique qui les changera à jamais.
Avis de Mela :
Guillaume Musso a réussi, une fois de plus et de façon magistrale, à m'embarquer dans son univers et dans ce cold case haletant de Paris à New York avec un crochet par Madrid, et ce fut une réussite.
Qui aurait pu croire que deux inconnus devant partager une maison à Paris, se retrouveraient à enquêter sur la disparition de trois toiles du fameux peintre Sean Lorenz, aujourd'hui décédé, mais qu'en fin de compte, leurs investigations les mèneraient à quelque chose de plus intense et surtout plus sombre ?
En tout cas, pas moi !
Et grâce à sa plume et ses mots prenants, l'auteur m'a offert là, la possibilité de participer à cette course contre la montre dans laquelle Gaspard et Madeline se battaient pour découvrir la vérité coûte que coûte.
Pour conclure, cet Appartement à Paris cachait bien des choses et a soulevé bien des questions et j'en ai pas perdu une miette.
Merci Guillaume Musso !
A votre tour de découvrir si toutes les réponses ont pu être apportées...
La jeune femme n'avait pas bougé. Elle faisait toujours face à la troisième toile qui s'était mise à briller dans la nuit. Ils savaient désormais à quoi Lorenz destinait les pigments phosphorescents dont avait parlé Fayol. Dans l'obscurité, la toile prenait une toute autre dimension. Le monochrome blanc était en fait un minutieux travail de calligraphie. Des centaines de lumières luminescentes se détachaient dans les ténèbres. Madeline se rapprocha du tableau. Lorsque Gaspard la rejoignit, il comprit que les lettres formaient un message qui se répétait à l'infini...
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