L’envers du décor #2 Août

C'est avec un grand plaisir que je renouvelle ma participation chez  "Lenvers du décor"  crée par Virginie Lambert ( tous les détails sont ICI)  

Ce rendez-vous d'écriture vous fera découvrir les coulisses des blogs. Chaque mois, nous serons appelés à publier un article autour d'un thème précis. 

Voici le thème du mois d'août 

L’envers du décor #2 AoûtProgrammer c'est tricher? Ah bon? Pour moi c'est l'option la plus utile du moment. Un blogueur(euse) n'est pas une personne qui vit 24/24 heures collé à son laptop ou son téléphone pour publier des articles. Comme toute personne, il/elle a d'autres choses à faire. Il y en a qui travaillent , il y a ceux qui s'occupent de la petite famille, il y a les étudiants ... Bref, il y a toujours quelque chose à faire en dehors du blogging. 

Vous allez sûrement citer le blogueur qui a fait du blogging son gain-pain et bien lui aussi a des choses à faire en parallèle: comme préparer des photos, de la matière, chercher des nouveautés pour ne pas sombrer dans la routine. En tant que blogueuse littéraire, je dois avouer que longtemps, j'ai laissé traîner mes chroniques pour les publier le jour convenu et il suffisait d'une panne ou d'un manque d'inspiration pour accuser du retard et donc perdre un peu de ma crédibilité face aux partenaires. J'ai alors testé la programmation de mes articles. Eh bien  les amis , c'est le bonheur. Je le fais depuis quelques mois et je suis heureuse de voir publier mes articles selon le jour et la date choisis.Bien sûr , je n'abuse pas ! Je ne programme pas tout. J'aime laisser de la place à la spontanéité , à l'inspiration du moment aussi. ConclusionChacun gère comme il peut et comme il veut aussi. On ne peut pas juger ceux qui choisissent le côté pratique de toute option qui se présente pour nous faciliter la vie. Sur un blog, je trouve que l'idéal est de programmer pour ne pas être dépasser par le flux d'idées par contre sur facebook , twitter ou instagram on doit vraiment éviter de tout programmer car ça deviendra "calculé" et on perdra la notion du plaisir du partage.