Les Loyautés

Mathis et Théo sont amis. Les parents de ce dernier sont divorcés, il vit une semaine chez l’un, une semaine chez l’autre. Hélène est l’une des professeurs des enfants. Elle a été victime de violences étant jeune et s’inquiète pour Théo. Cécile, elle, est la mère de Mathis. Elle vient d’apprendre quelque chose qui bouleverse l’équilibre instauré dans sa famille. C’est entre ces quatre personnages que la narration des Loyautés se partagent.

Les Loyautés est un roman que Delphine de Vigan a voulu court et nerveux. En son cœur, les dévouements, les fidélités que les êtres humains accordent à d’autres, à des choses, à leur éducation, à des principes en s’en rendant compte ou non. Des formes de droitures qui hantent, qui guident ou qui freinent. Que faut-il faire de ses loyautés lorsque des secrets sont découverts, que des dangers sont soupçonnés ? Faut-il entrer dans la vie des autres ? Faire éclater la sienne ? Ici, les choix doivent être rapides quant à la manière d’être droit. Ils se forment sous une plume belle et forte, qui s’échappe avec virtuosité dans l’intime de personnages bouleversés et bouleversants. Elle est réaliste aussi et fait s’interroger le lecteur. La fin le met malicieusement à l’épreuve.

Les Loyautés

Présentation de l’éditeur :
« Chacun de nous abrite-t-il quelque chose d’innommable susceptible de se révéler un jour, comme une encre sale, antipathique, se révélerait sous la chaleur de la flamme ? Chacun de nous dissimule-t-il en lui-même ce démon silencieux capable de mener, pendant des années, une existence de dupe ? »

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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois