Les ombres de Julia

Les ombres de Julia

La note 

1/5

La critique

J’aurais aimé aimer ce livre vu sa superbe couverture, malheureusement le courant (noyée, courant… pardon) est loin d’être passé entre lui et moi. Je te laisse le résumé ici et c’est parti.

On va commencer par l’univers du roman, qui pour moi n’est pas assez développé. L’auteure ne donne presque pas d’explications sur le monde qu’elle a créé, sur les différentes créatures qui l’habitent, ou même sur l’histoire de cette ville, ce monde dans lequel la magie a été bannie et où les sorcières sont pourchassées et tuées. Et pour cette raison, rien ne m’a paru crédible, rien ne colle, et très franchement rien ne m’a vraiment intéressée. C’est dommage puisqu’on sent que l’auteure voulait faire quelque chose de génial, mais ça a floppé. Aussi, la « romance » m’a semblée un peu hors-sujet et n’apporte vraiment rien à l’histoire, j’aurais même préféré ne pas en avoir du tout.

Et je vais embrayer sur le plus gros défaut du roman à mes yeux, c’est ennuyant à en mourir. J’ai hésité à laisser tomber parce que je ne voyais pas d’intérêt dans ces pages, mais je me suis dit que la fin remonterait le niveau… je suis donc allée jusqu’au bout, qui est assez prévisible, la déception était donc là. Pour le coup, je me suis dit que j’aurais vraiment dû laisser tomber et passer à autre chose.

La protagoniste quant à elle n’a rien d’extraordinaire à part son pouvoir qui n’est finalement pas vraiment mis en avant dans l’histoire et sert plus de prétexte qu’à autre chose. Il est utile une page ou deux, mais le reste du temps on l’oublie complètement… surtout que quand Julia utilise son pouvoir, c’est trop « simple », pas assez creusé ni même intéressant…

Bref, une déception pour moi, mais merci tout de même à Milan pour l’envoi !


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois