De velours et d’acier

De velours et d’acierAuteur : Georgia Caldera

Editeur : Pygmalion

Genre : Steampunk, romance

Parution : 2017

Pages : 803

Dans les Bas-fonds de Néo-Londonia, Léopoldine se bat depuis des années pour survivre. Lorsque le groupe auquel elle appartient maltraite un enfant, elle décide de se rebeller, quitte à affronter la colère de la Guilde des Voleurs. Dorénavant, elle ne laissera plus rien ni personne lui barrer la route.

Augustin, lui, a toujours mené une existence fastueuse et insouciante, résigné à subir en parallèle l’écrasante emprise de sa mère, la Reine Victoria au règne sans fin. Mais il tombe de haut quand, pour la première fois, il refuse de se conformer à ses plans aussi tortueux que mystérieux. Car, s’il est un prince dont la fonction n’est que titre, c’est lui. Le jeune homme devra résister et fuir pour s’affranchir du joug de la souveraine et embrasser sa destinée.

Une rencontre qui pourrait bien tout bouleverser… mais la liberté ne s’obtient jamais sans sacrifice.


De velours et d’acier

Quelle déception ! Je m’attendais à adorer ce tome comme pratiquement tous les écrits de Georgia Caldera, mais De velours et d’acier ne l’a pas du tout fait avec moi, à tel point que j’ai pris la décision de l’abandonner au bout de la 500ème pages.

Ma chronique ne sera donc pas longue, mais je peux vous dire que si je n’ ai pas apprécié ce tome c’est en partie à cause de la romance. Effectivement, j’ai lu tous les romans de l’autrice, et je commence à savoir comment ses écrits fonctionnent, et j’ai donc ressenti une lassitude du côté de l’histoire d’amour. Georgia Caldera utilise toujours les mêmes mécaniques, et si sur la plupart de ses romans cela marche très bien, j’ai trouvé que pour De velours et d’acier, cela ne prenait pas. J’ai ressenti une grande lassitude face aux comportements des deux protagonistes dont l’histoire d’amour m’a fait lever les yeux au ciel. On se retrouve encore une fois avec un jeu du chat et la souris, du « je t’aime moi non plus« , et j’en ai eu vraiment marre, surtout que cela prenait les trois quarts du roman, au détriment de l’histoire.

Et c’est pourtant dommage car les cent premières pages du roman sont excellentes ! Glauque, violent, sombre… cela me rappelait l’ambiance des Larmes rouges, la meilleure saga de l’auteure à mes yeux. Mais voilà, très vite l’histoire d’amour pointe le bout de son nez, et c’est à partir de là que tout dégringole. C’est vraiment décevant surtout que l’écriture de l’autrice est toujours aussi belle.

J’ai donc laissé tomber ce roman dont les personnages me tapaient sur les nerfs, en particulier le personnage féminin qui est vraiment insupportable. Je n’ai pas aimé ce roman, ce fut donc une grosse déception. Je pense que la saga Victorian Fantasy n’est juste pas pour moi. Je passe mon tour !

De velours et d’acier

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