Les livres qui ont rejoint ma bibliothèque en octobre 201...

 Les livres qui ont rejoint ma bibliothèque en octobre 2017 (achats).
Les livres qui ont rejoint ma bibliothèque en octobre 201...


No home de Yaa Gyasi, Editions Calmann-Lévy, 450 pages.


Résumé:
Maama, esclave Ashanti, s’enfuit de la maison de ses maîtres Fantis durant un incendie, laissant derrière elle son bébé, Effia. Plus tard, elle épouse un Ashanti, et donne naissance à une autre fille, Esi. Ainsi commence l’histoire de ces deux demi-sœurs, Effia et Esi, nées dans deux villages du Ghana à l’époque du commerce triangulaire au XVIIIe siècle. Effia épouse un Anglais et mène une existence confortable dans le fort de Cape Coast, sans savoir que Esi, qu’elle n’a jamais connue, est emprisonnée dans les cachots du fort, vendue avec des centaines d’autres victimes d’un commerce d’esclaves florissant avant d’être expédiée en Amérique où ses enfants et petits-enfants seront eux aussi esclaves. Grâce à un collier transmis de génération en génération, l’histoire se tisse d’un chapitre à l’autre : un fil suit les descendants d’Effia au Ghana à travers les siècles, l’autre suit Esi et ses enfants en Amérique.
Les livres qui ont rejoint ma bibliothèque en octobre 201...

Slammed, tome 3: Eblouissant de Colleen Hoover, Editions J'ai Lu, 317 pages.Résumé:L'amour de Layken et Will a su surmonter les épreuves les plus difficiles et les jeunes amants, désormais mariés, commencent à se sentir en sécurité dans leur union. Mais bien que Layken savoure leur nouvelle vie à deux, elle souhaite tout savoir sur son mari, même si Will lui fait comprendre qu'il préfèrerait garder les souvenirs douloureux de son passé. Mais il ne peut résister aux désirs de sa femme et commence donc à lui raconter son côté de l'histoire, révélant pour la première fois ses sentiments et ses pensées les plus intimes, relatant à la fois les bons et les mauvais moments, et partageant quelques choquantes confessions datant du temps où ils se sont rencontrés.Les livres qui ont rejoint ma bibliothèque en octobre 201...Lever de rideau sur Terezin de Christophe Lambert, Editions Bayard, 448 pages.Résumé:Depuis les premières lois anti-Juifs du régime de Vichy, le dramaturge à succès Victor Steiner se terre dans un petit appartement parisien. Mais un soir, la passion du théâtre est la plus forte : il sort de sa cachette pour assister à la première du Soulier de satin à la Comédie française, et au retour il est arrêté par la police. Quelques jours plus tard, il embarque dans un train à bestiaux. On lui a pourtant dit qu'il aurait droit à un traitement de faveur... Et, de fait, en pleine nuit, on le fait changer de convoi. Dans ce nouveau wagon, plus un seul Français ; seulement des Juifs allemands. Le traitement de faveur, c'est que Steiner sera déporté dans le camp de Terezin, celui où sont parqués les Juifs "prominenten" - "importants" : artistes, intellectuels, hommes politiques, savants... A première vue, Terezin a tout d'une gentille ville tchécoslovaque : d'élégantes fortifications, des trottoirs bien propres, des parcs et même une église. Mais ses murs cachent la même violence que les barbelés de n'importe quel autre camp. Et, chaque semaine, des listes désignent ceux qui partiront à Auschwitz pour être gazés. A son arrivée, Victor Steiner a la surprise de rencontrer l'un de ses plus grands fans : l'Hauptsturmfürher Waltz, qui est également un passionné de littérature et de culture française, notamment du siècle du Roi Soleil. Et bientôt, Waltz lui passe commande... Les nazis ont autorisé la Croix-Rouge internationale à venir inspecter l'un de leurs camps de prisonniers - le plus "soft" d'entre eux : Terezin, bien entendu. A cette occasion, Waltz veut qu'un grand spectacle soit donné, dans un théâtre de Prague. Ainsi, les inspecteurs verront que le Reich n'a rien à cacher... Et qui mieux que Victor Steiner pourrait créer une formidable pièce de théâtre ? Une oeuvre inédite, dont l'action se déroulerait au XVIIe siècle, à la cour de Louis XIV, avec - pourquoi pas ? - le grand Molière lui-même... Steiner, bien sûr, n'a aucune envie d'accepter. Or, Waltz n'est pas le seul à s'intéresser à cette pièce. Bientôt, c'est le réseau de Résistance qui sévit à l'intérieur de Terezin qui contacte le dramaturge : il faut qu'il écrive cette pièce, une pièce avec le plus d'acteurs possibles, une pièce se terminant par un monologue d'un quart d'heure minimum... car le projet des Résistants est qu'à la fin du spectacle, tous les comédiens s'évadent...

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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois