C’est lundi, je dépoussière…

C’est lundi, je dépoussière…

Chaque lundi, Entre Les Pages vous propose d’anciens articles dont le texte et la mise en page ont été rafraîchis. Qu’il y ait 2, 3, ou 4 articles, le but est de vous faire découvrir ou redécouvrir des livres très différents. J’espère que cela vous plaira ! Vous pouvez lire et commenter les avis ici, ils se trouvent à la suite les uns des autres, ou cliquer sur les couvertures ci-dessous pour accéder aux chroniques en elles-mêmes. Belle lecture à tous ! Au programme aujourd’hui :

UNE ÉDITION SPÉCIALE « LE TITANIC »

C’est lundi, je dépoussière… C’est lundi, je dépoussière… C’est lundi, je dépoussière… C’est lundi, je dépoussière…
C’est lundi, je dépoussière… C’est lundi, je dépoussière… C’est lundi, je dépoussière… C’est lundi, je dépoussière…
C’est lundi, je dépoussière… C’est lundi, je dépoussière… C’est lundi, je dépoussière…

Retrouvez aussi ces lectures dans le Challenge R.M.S Titanic

Titanic 2.0 & Titanic 2.1
En 2020, Claire et Jimmy font connaissance à bord du Titanic II. Elle, est la fille du propriétaire du bateau et lui, un passager clandestin. Jimmy gagne sa place à bord en devenant rédacteur en chef du journal du navire, le Titanic Times, et Claire l’aide dans sa tâche en tant que photographe. Malheureusement, c’est l’apparition d’un virus mortel qui fait la une de leur gazette. Car sur Terre, les gens meurent les uns après les autres et sur le nouveau Titanic, les premiers symptômes apparaissent aussi. Plus de cent ans après le naufrage du premier Titanic en plein Atlantique Nord, le Titanic II se rend à son tour à New York. Sauf que ce Titanic là, est synonyme de refuge, de sauvetage et de dernière chance.

En effet, il se trouve que les membres du navire ont un remède pour soigner les passagers atteints de ce qui est appelé « la mort rouge ». Les excursions à terre mènent à quelques conflits entre les personnes secourues et les passagers qui disent mériter leur place à bord mais rien n’avait préparé ces survivants au camp militaire dirigé par un homme qui s’est autoproclamé président des États-Unis ou pire, au cannibalisme… Bien d’autres désaccords et épreuves attendent les personnages très attachants de cette histoire. Action, suspense et humour sont réunis ici pour deux ouvrages entraînants et énergiques. L’auteur, Colin Bateman, raconte les aventures de ses personnages à travers des chapitres courts et assez intenses. La narration est quant à elle agréablement fluide, elle dévoile une histoire incroyable mais pleine de charme qui tient ses promesses d’éveiller et de divertir son public au cœur vaillant.

La mort rouge
Présentation de l’éditeur :
Le Titanic était réputé insubmersible. Une nuit d’avril 1912, un iceberg en a décidé autrement. En ce troisième millénaire, les experts assurent que rien ne pourra faire sombrer le Titanic II. Mais un mal mystérieux et incurable sème la mort sur le continent. Les passagers du plus grand paquebot de tous les temps sont-ils à l’abri de l’épidémie ? Jimmy Armstrong, passager clandestin malgré lui, et Claire Stanford, fille de milliardaire, doivent faire face à un ennemi aussi implacable qu’invisible…

Cannibal city
Présentation de l’éditeur :
2020. Une terrifiante épidémie à décimé l’humanité et les rares survivants évoluent dans un monde où règne la peur. Miraculeusement épargnés par la maladie, Jimmy la Chance et son amie Claire voguent à bord du Titanic II, un gigantesque navire de croisière. Leur errance les mène de villes dévastées en campements de fortune. Ce qui les attend à New-York dépasse pourtant de très loin les horreurs qui ont parsemé leur route…

***

S.O.S Titanic, Journal de Julia Facchini
A 14 ans, Julia Facchini est étouffée par les conventions, les attitudes que doit adopter une jeune fille de son âge. D’origine italienne, elle vit à New York avec ses parents et son frère et rêve secrètement de devenir journaliste. Un soir, Mr Facchini fait une surprise à toute la famille en leur annonçant qu’ils ont enfin l’argent nécessaire pour faire le voyage jusqu’à Gênes et ainsi revoir leur cousine Fiammetta, Rosa, Gina et les autres. Julia a lu beaucoup de romans d’aventure, de récits de voyage et a encore des frissons quand elle se souvient du livre de Morgan Robertson, Futility Or The Wreck Of The Titan. Cet ouvrage, aux allures de prophétie, raconte comment un paquebot appelé « Titan » coula lors de son voyage inaugural après une collision avec un iceberg.
Elle ne le sait pas encore mais le
Carpathia, le navire qui l’emmène en Italie, accueillera à son bord les quelques 700 rescapés du naufrage du Titanic qui eut lieu tôt le matin du 15 Avril 1912

Publié dans la collection « Mon Histoire », le Journal de Julia Facchini est une émouvante traversée à bord du navire qui fut le premier à arriver sur les lieux de la tragédie et dont on définit le capitaine, Arthur Rostron, comme un héros. La narratrice jouit d’un point de vue original, c’est à dire qu’elle se trouve non pas à bord de celui qu’on disait insubmersible mais sur le pont, dans les cabines et dans la salle à manger du Carpathia. Elle est témoin de la catastrophe qui bouleversa le monde maritime, spectatrice et aussi actrice d’un monde qui doit changer. En allant à l’encontre de ce qu’elle devrait faire, en écoutant son cœur, elle raconte ici comment cet épisode charnière du vingtième siècle l’a guidée vers son destin. Quelle femme se dévoile ici sous la plume de Christine Féret-Fleury ! Quelle source d’inspiration !

Présentation de l’éditeur :
«15 avril 1912, 2 h 20 du matin. Je suis sur le pont avec d’autres passagers qui, comme moi, s’efforcent de ne pas gêner l’équipage. Personne ne parle. Les hommes ont le visage grave et tendu ; une femme prie à voix basse. Nous marchons à pleine vitesse. Qui aurait cru que le Carpathia pouvait aller si vite ? Le capitaine a posté des vigies à l’avant, avec mission de guetter les glaces à la dérive, ou le moindre signe du Titanic. Tout paraît tranquille, trop tranquille : la mer est plate comme un lac, les étoiles brillent avec intensité dans le ciel noir. Il fait de plus en plus froid. Comment imaginer qu’à quelques milles d’ici un navire aussi énorme soit en perdition ?»

***

Polar, the Titanic Bear
Polar, « l’ourson du Titanic« , est une histoire pour enfants écrite par la maman de Douglas Spedden, un petit garçon à qui on avait offert un bel ours blanc qui ne le quittait jamais, ni quand il a attrapé la rougeole, ni quand le Titanic sombrait… Inspirées de la vraie histoire des inséparables Douglas et Polar, les aventures de cet ours en peluche auprès de celui qu’il appelle « Master » sont racontées par l’adorable Polar lui même. Il réussit à faire rêver en mettant en avant une époque tout à fait révolue, celle ou des gens comme les parents de Douglas ne travaillaient pas et voyageaient à loisir et une époque qui est aussi celle de l’âge d’or du jouet.

L’ouvrage est une belle et touchante rétrospective de la vie de cette famille à travers de vraies photos et grâce à de splendides illustrations. Le jeune Douglas, qui mourut malheureusement dans un des premiers accidents de la route trois ans après avoir survécu au naufrage du Titanic, laisse une trace indélébile dans l’Histoire et dans le cœur de ses lecteurs.

Présentation de l’éditeur :
This is the true story of the toy bear who survived the Titanic.  Recently found in a family trunk, this captivating story, told through the eyes of a young boy’s toy bear, describes an American family’s travels in the Edwardian era, culminating with their voyage on the famous Titanic. It was written more than 80 years ago and is now published for the first time.

***

Titanic, l’instinct de vie
Ruth, Jack et Douglas, trois enfants à bord du plus somptueux navire au monde, ont la chance de pouvoir le visiter, guidés par le chef steward Andrew Latimer. Mais l’émerveillement est tragiquement interrompu étant donné qu’avant minuit, le Titanic heurte un iceberg et qu’il commence à couler par l’avant. C’est à travers le destin de ses trois personnages, réels survivants du naufrage, que Bernard Marck a décidé de faire découvrir la tragique histoire du fleuron de la White Star Line. Grâce à l’opportunité qui est faite aux enfants de se rendre dans des lieux surprenants, réservés à la première ou à la deuxième classe seulement, voire inédits pour certains membres d’équipage aussi, le lecteur plonge au cœur du mythe, s’abreuve de renseignements et d’anecdotes. Ces dernières sont d’autant plus passionnantes qu’elles laissent aussi la place aux signes, aux mauvais pressentiments et à tout ce qui présageait, de façon mystique, que le paquebot n’arriverait jamais à New York

Bien que le récit soit chirurgical, peuplé de détails, agrémenté de notes et puis finalement de riches annexes tout aussi captivantes, la lecture très se fait aisément. Elle est fascinante et déchirante. De plus, les chapitres sont courts et le rythme de cette longue nuit est alors bien soutenu, même habité par une forme de suspense. Chacun d’entre eux réserve émotions et surprises. Titanic, l’instinct de vie, plus qu’un ouvrage, est une traversée, un voyage en mémoire de tous ceux qui ont péri le 15 Avril 1912 et de la leçon qu’elle donna à l’homme.

Présentation de l’éditeur :
Trois enfants se rencontrent à bord du plus grand et du plus beau paquebot du monde. Ils sont émerveillés. Le matin du 15 avril 1912, à 2h20, le Titanic sombre dans les eaux glacées de l’Atlantique Nord, plus de deux heures après avoir heurté un iceberg. Le premier SOS de l’Histoire est lancé dans la nuit noire et terrifiante.

***

Les enfants du Titanic
Tout juste séparé de sa femme, Michel Navratil a embarqué sur le Titanic sous le nom de Hoffmann grâce au passeport qu’il déroba à un de ses amis. Avec lui, il avait emmené ses deux jeunes fils : Lolo et Monmon. Leur mère, toujours à Nice et ne sachant pas où pouvaient se trouver ses enfants, n’imagina pas une minute qu’ils puissent être à bord du plus beau paquebot du monde, de celui qu’on disait insubmersible mais qui, pourtant, devait sombrer lors de son voyage inaugural.

Les enfants du Titanic est paru pour la première fois en 1982. Il a été réédité en 1998 et profite du centenaire du naufrage pour se refaire une beauté, agrémenté de photos et de notes de l’auteur. Elisabeth Navratil est la fille de Lolo, rescapé, avec son frère, de la nuit du 14 au 15 Avril 1912. Elle raconte ici l’épreuve qu’ils ont traversée. Celle-ci commence à l’embarquement, entre émerveillement et peur et se termine quand les enfants retrouvent enfin les bras de leur mère. La fiction se mêle à l’incroyable réalité pour faire vivre un maximum d’émotions aux lecteurs. Ces derniers sont ainsi eux aussi entraînés dans les chambres, les salons, les ponts promenade et se délectent de ces visites du navire. Elles sont évidemment toujours riches en informations, en anecdotes. L’émotion est présente tout au long du récit, est surtout de plus en plus perçante au fil des heures froides et incertaines auxquelles il a fallu survivre. Voilà un roman touchant, captivant. Il est culte, indispensable pour les gourmands du mythe mais aussi une œuvre idéale pour ceux qui veulent s’initier.

Présentation de l’éditeur :
Le 10 avril 1912, Michel Navratil et ses deux fils embarquent sur le Titanic. Tous trois partent vers l´Amérique à bord du plus beau paquebot du monde surnommé « L´Insubmersible ». Mais le 14 avril, à 23 h 40, le Titanic heurte un iceberg. La tragédie commence pour tous les passagers et Michel n´a alors plus qu´une idée en tête : sauver ses enfants. Lolo a quatre ans, Monmon en a deux : pour l´Histoire ils seront désormais « Les Enfants du Titanic ». Dans son récit, Élisabeth Navratil mêle réalité et fiction, s´appuie à la fois sur les souvenirs de son père, l´aîné des deux frères rescapés, et sur une riche documentation sur le naufrage du plus célèbre des paquebots.

***

Panique sur le Titanic
Dans le canot numéro 4, on empêche un jeune garçon de monter à bord alors qu’un homme déguisé en femme s’y faufile. On s’inquiète aussi de savoir si les maris ont pu trouver une embarcation. Eva et Marjorie cherchent leurs poupées à la surface de l’eau. Retourner chercher les survivants est trop dangereux, ils risqueraient de faire chavirer le canot, il faut attendre. Les opérateurs avaient l’ordre de faire passer en priorité les messages des passagers et les annonces d’icebergs ont été ignorées ou du moins, n’ont pas été prises au sérieux. Bruce Ismay, patron de la White Star Line, est vivant, dans un canot, lui qui avait fait accélérer le navire, lui qui voulait rencontrer la gloire… Et ces passagers de troisième classe à qui on a empêché l’accès au pont…

Panique sur le Titanic est un ouvrage qui met les enfants dans un canot de sauvetage, là où ils sont en sécurité, protégés, mais là où ils vont aussi pouvoir rencontrer de vrais passagers et leur détresse. Lecteurs revivant cette tragédie, ils vont voir l’Insubmersible abdiquer, se laisser engloutir et se rendre compte de l’angoisse, de l’indicible qu’ont vécu tant de gens, peu importe leur rang social, en cette terrible nuit du 14 au 15 Avril 1912. Les mots choisis pour cette œuvre sont simples et perçants. Le récit, plutôt court, n’en est pas moins poignant et parmi l’essentiel de ce drame, les ordres, les doutes, les absurdités mais également les sacrifices et le courage sont parfaitement mis en avant dans cet excellent roman dédié aux plus jeunes.

Présentation de l’éditeur :
14 avril 1912, 23h40 :  » Iceberg en vue  » hurle la vigie. Le plus grand et plus luxueux paquebot jamais construit alors, le Titanic, n’a pas le temps d’amorcer un demi-tour. Il heurte l’obstacle à pleine vitesse. Le capitaine doit se rendre à l’évidence : le bateau va couler. Il faut embarquer sur les canots de sauvetage… Dans la chaloupe 14, c’est la consternation. Comment en est-on arrivé là ? L’officier Harold Lowe tente de sauver les passagers dont il a la charge. Mais que vont devenir Marjorie, 8 ans, et sa mère ? La jeune Eva va-t-elle retrouver son père ? Et le petit Trevor, 11 mois, pris en charge par sa nourrice, va-t-il revoir sa famille ?

***

Titanic (Trilogie de Gordon Korman)
Titanic est une trilogie de Gordon Korman. L’auteur se rend, et emmène le lecteur en même temps avec lui, à bord du plus somptueux navire de tous les temps pour une traversée pleine d’aventures. Il réunit sur le géant des mers quatre enfants qui vont explorer le bateau de fond en comble, de manière parfois dangereuse, mais qui vont de nouveau illuminer les corridors et les salons engloutis. Bien qu’il proviennent d’horizons très différents, Paddy, Alfie, Julianna et Sophie vont pourtant devoir se comprendre, s’entraider et faire sauter les barrières des classes sociales. C’est ensemble qu’il devront aussi tout faire pour se sortir vivants de cette tragique traversée inaugurale.

Pendant leur incroyable voyage, les enfants rencontrent les acteurs de l’Histoire qui ont permis au Titanic d’exister, de fendre les eaux : Thomas Andrews en premier lieu, puis Joseph Bruce Ismay, le capitaine Smith, l’officier Lightoller et bien d’autres. Impossible de s’ennuyer une fois que les splendeurs de la première classe ont été ressuscitées, que les irlandais dansent une gigue endiablée, qu’un mystérieux carnet met les personnages sur la piste d’un tueur en série ou que des poursuites mènent un enfant à s’accrocher à l’ancre du paquebot pour échapper aux hommes d’équipage. L’histoire des jeunes héros est racontée avec effervescence et émerveillement. Le Titanic met à nouveau des étoiles plein les yeux en dépit de la catastrophe annoncée et c’est tout ce qui fait la force de ces ouvrages.

Titanic, Tome 01 : Insubmersible
Présentation de l’éditeur :
Embarquez à bord du Titanic avec quatre adolescents. Paddy, petit voleur des rues, s’embarque en douce pour échapper à une bande de malfrats. Sophie est la fille d’une suffragette américaine, tandis que Juliana est issue de la haute bourgeoisie. Et enfin, il y a le mystérieux Alfie. Quatre jeunes gens qui n’ont rien en commun, mais vont apprendre à se connaître et à s’entraider. D’autant que Paddy doit échapper à l’équipage qui l’a repéré et à l’un des bandits qui est monté à bord… Sophie, Juliana et Alfie pourront-ils le protéger ?

Titanic, Tome 02 : Collision
Présentation de l’éditeur :
Le Titanic vogue vers un destin que nul n’aurait pu imaginer. Des luxueuses cabines de première classe aux sombres entrailles du navire, l’insubmersible n’a jamais caché autant de mystères : un assassin se serait secrètement introduit à bord ; un héritage est compromis ; un lourd secret est sur le point d´être révélé. Au milieu des intrigues, Paddy, Sophie, Juliana et Alfie poursuivent leur voyage. Leurs vies sont à présent définitivement liées au destin du paquebot légendaire…

Titanic, Tome 03 : S.O.S
Présentation de l’éditeur :
Cette fois, c’est sûr : le Titanic, ce fameux navire surnommé « l’Insubmersible », est en train de sombrer. Dans la panique générale, Paddy, Alfie, Sophie et Julianna mènent leur plus grand combat. Survivre. Une lueur d’espoir subsiste dans cette nuit de cauchemar : que les eaux glacées de l’Atlantique emportent avec elles l’assassin le plus cruel de tous les temps…

***

Les fantômes du passé, Tome 1
Avril 1912, le Titanic est fin prêt à démarrer pour son voyage inaugural. Montent alors à bord un policier, un tueur, la femme qui l’aime et qui veut tout faire pour le libérer, et deux femmes bien mystérieuses qui ont un passé commun. Ces personnages, le lecteur les rencontre avant l’embarquement et les suit jusque sur le paquebot. Le destin de chacun se retrouve prisonnier de la mer pour un récit sombre et énigmatique. Les fantômes du passé est une bande dessinée aux planches nerveuses et saisissantes qui font ressurgir des eaux et de l’histoire le navire au tragique destin qu’il est toujours excitant de revoir, de retrouver tant il est, pour toujours, captivant, envoûtant.

Présentation de l’éditeur :
12 avril 1912, à Southampton… les passagers qui embarquent à bord du plus grand paquebot de tous les temps : « le RMS Titanic » ignorent qu’un psychopate est enfermé à fond de cale. Pourtant surveillé nuit et jour, par les fameux détectives Pinkerton, le tueur s’échappe. C’est la panique après la découverte d’un premier, puis d’un second meurtre! D’autant que les enquêteurs ont la quasi certitude qu’un autre tueur se trouve à bord, beaucoup plus dangereux, et dont les mobiles demeurent incompréhensibles. Que s’est-il passé réellement à bord du Titanic ?

C’est lundi, je dépoussière…

Publicités