'Le premier miracle' de Gilles Legardinier

Par Fiftyshadesdarker @51shadesdarker
Titre Le premier miracle.
Auteur :Gilles Legardinier.
Éditeur :FlammarionDate de parution 2016
Genre : Thriller, ÉsotérismeRésumé Karen Holt est un agent du gouvernement britannique au sein d’un service de renseignements très particulier. Benjamin Horwood est un universitaire qui ne sait plus trop où il en est. Elle enquête sur une spectaculaire série de vols d’objets archéologiques à travers le monde. Lui passe ses vacances en France sur les traces d’un amour perdu. Lorsque le vénérable historien qui aidait Karen à traquer les voleurs hors norme meurt dans d’étranges circonstances, elle n’a pas d’autre choix que de recruter Ben, quitte à l’obliger. Ce qu’ils vont vivre va les bouleverser. Ce qu’ils vont découvrir va les fasciner. Ce qu’ils vont affronter peut facilement les détruire…


Un roman que j’avais vraiment envie de découvrir après avoir lu certains romans de Gilles Legardinier, mais on m’avait dit que celui-ci était bien différent de ceux que j’avais lu. Et je n’ai pas vraiment accroché…

L’histoire est celle de Benjamin Horwood, un universitaire spécialisé en science historique, qui va être entrainé de force, par Karen Holt, un agent du Gouvernement britannique au sein d’un service de renseignements très spécialisé, dans une enquête sur une série de vols d’objets archéologiques à travers le monde. Ce qu’ils vont vivre va les bouleverser. Ils vont découvrir des choses fascinantes dans leurs aventures. 

Je dois dire que l’histoire m’a un peu ennuyé. En effet, il y a beaucoup de descriptions scientifiques et historiques, qui ne m’ont pas vraiment passionné. Malgré tout, je remarque que l’auteur a dû mener pas mal de recherches pour pouvoir écrire un tel roman, mais cela n’est pas fait pour moi. Cela me rappelle deux romans de Marc Levy ('Le premier jour' et 'La première nuit') que j’avais lu et j’y reprochait la même chose. Je crois que le principal problème est que je n’ai pas réussi à me passionner pour l’histoire. Du coup, je n’ai trouvé pas vraiment d’intérêts à l’intrigue… Dommage…

La fin est ce qui est le plus intérêts à mon avis. J’ai trouvé que les cent dernières pages étaient mieux agencés et un peu plus entraînante. Du coup, je me suis un peu moins ennuyé.

Karen Holt est un agent du Gouvernement britannique pour une agence secrète, qui est depuis plusieurs mois à la recherche de voleurs d’objets archéologiques. Mais étant dans une impasse, elle va demander de l’aide à Benjamin, mais elle va devoir y aller fort pour qu’il l’aide. J’ai trouvé qu’elle ressemblait un peu à un James Bond féminin ou Evelyn Salt du film ‘Salt’. Je dois dire que je l’ai apprécié, même si je ne me suis pas identifiée à elle. Malgré tout, elle a tout d’une héroïne que j’apprécie : courageuse et déterminée. C’est vraiment ce que j’apprécie quand je lis un roman.

Benjamin Horwood est le personnage, qui ressemble le plus aux autres personnages créés par l’auteur dans ces autres romans. Benjamin est en « sortie de rupture », il est un peu perdu, donc il a tendance à refuser ce que lui demande Karen, mais elle ne va pas lui laisser le choix. Du coup, il est plongé dans cette aventure sans trop le vouloir. Ce personnage est drôle, mais un peu lourd par moment. Il est attachant, même si j’aurai voulu pouvoir plus m’identifier à lui. J’ai aimé ce personnage comme le premier, mais c’est vraiment l’histoire qui m’a posé problème.

Le style d’écriture est vraiment ce que j’ai retrouvé des romans de Gilles Legardinier et j’adore cela. J’aime les descriptions qu’il fait et la fluidité de son écriture. Mais les détails historiques et archéologiques sont trop précis pour que j’adhère. Cela ne me passionne pas vraiment, alors une histoire dessus, j’ai un peu de mal.

En général, je n’ai pas réussi à me passionner pour cette histoire, malgré des personnages principaux forts sympathiques.