Les tegs, tome 3 : Suprématie (Mell 2.2)

Les tegs, tome 3 : Suprématie (Mell 2.2)

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Les tegs, tome 3 : Suprématie (Mell 2.2)


Auteur : Mell 2.2

Édition : Sharon Kena

Paru le : 18 Avril 2017

264 pages numériques (ebook)

Thème : Dystopie

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Fait partie de la série

Les Tegs

 

Résumé :

« Ceux qui détiennent le pouvoir ne sont pas forcément les plus puissants, mais ils possèdent l’autorité. Ils peuvent mettre à genoux ces êtres qui fourmillent dans la ruche malsaine qu’est devenu le monde. Les pièces sont en place pour défaire le Roi adverse et mettre en échec les plans sinistres du faux-bourdon Tegiis, Altan. Plusieurs reines vont se disputer son essaim afin de décider du sort de l’humanité. Quant à Noham, la vérité sur l’origine de son espèce scellera bien plus que son destin. Fin de la discussion. »  

Yem, tome 1 : le grand rift (Gilles Milo-Vacéri)

Les tegs, tome 3 : Suprématie (Mell 2.2)

17/20

Je remercie les éditions Sharon Kena pour la suite de cette série. Depuis le temps que j'attendais de découvrir ce que Mell avait bien pu inventer une fois de plus, je suis ravie ! En plus la couverture est vraiment très belle et cette couleur caractéristique rappelle bien un des personnages.

L'autorité, ou plutôt créer la peur pour maintenir les plus faibles sous sa coupe. Une ruche, une reine et de faux bourdons, des ouvriers et tout ce qui va avec, et créons du miel ! Quoi ? C'est bien comme cela que cela fonctionne non ? Il faut des ouvriers pour bosser, bosser, bosser et ainsi faire en sorte que leur ruche soit la meilleure et donc avoir le plus de pouvoir. A moins qu'il ne faille jouer aux échecs : Roi et Reine sont devenus des fous, les cavaliers fuient et les tours sont au plus bas. Et dans tout cela, il y a Noham, un personnage que nous avons connus dans les précédents tomes et qui va apprendre (en même temps que nous) qui il est réellement...

Le livre est découpé en 4 archives donc 4 personnages différents qui vont nous dévoiler ce qu'ils vivent, ce qu'ils espèrent ou non, ce en quoi ils croient. Je ne raconterais pas les 4 archives, mais j'en laisserait un petit bout, histoire de montrer que je me suis bien amusée !

« Archive 1
Code : Renegade »
Nous  suivons Noham justement dans ce qu'il a "construit". Lui qui est un être qui déteste les humains, déteste être en présence de personnes, bref qu'il n'aime que sa solitude, se découvre une passion, une envie de se rapprocher d'un autre. Bien entendu cela le déroute, le met dans une position déstabilisante. Il ne comprend plus grand chose, mais au final il devient... libre, ou presque. Il croyait tellement de choses et au final, c'est devenu quelqu'un, non pas de social, on ne va pas aller jusque là hein, mais il va s'ouvrir aux autres, surtout à Calyo. Je l'ai vu pris dans ses propres filets, faire et défaire sans cesse. Il apprend qu'il a un cœur qui bat, une conscience aussi. Ah ça non, pas de conscience réelle encore, il adore parler de ceux qu'il a tué auparavant comme s'il parlait de la pluie et du beau temps. Et lorsqu'il découvre qu'il est réellement amoureux... Mouah ah ah - rire sadique - c'est trop beau pour être faux !
« Ma léthargie actuelle vaut sans aucun doute celle de ce pauvre Naël cloisonné dans son tube d’exuvie. Lui et ses troupes de clones ont rapporté un puissant processeur, appartenant naguère à la confrérie de la clef USB. La petite chasseuse Calyo, ainsi que Flash Jemsef et Ma-L, les parents du petit brun plongé en mue forcée, faisaient autrefois partie de cette congrégation malveillante, avant qu’elle n’éclate. Cette bécane détient des fichiers concernant la soi-disant reine de mon essaim : Ma-L, dont le vrai nom devrait être Émilia.  »
« Archive 2
 
Code : Le trône sans fer »

Nous suivons la reine, vraie ou fausse, le bourdon qui se prend pour le roi Altan qui nous file le cafard, les ouvriers qui n'en font pas grand chose (oups j'ai failli dire autre chose xD) Trahison, complot, mise sous pression. La folie n'est pas que lié à l'humanité, enfin disons qu'ils ne sont pas vraiment des humains. Proche de l'insecte (oui oui on revient à l'abeille) ils sont encore plus détraqués que le plus fou des humains ! La névrose devient pathologique et les idées fixes ne s'enlèvent pas si facilement des esprits. Ma-L, enlevée va subir ce qu'elle croit un enfer. au final, elle va se découvrir un don particulier qui va beaucoup l'aider. Reste à savoir si cela fonctionnera ou pas.
« – Pour qui te prends-tu à me fixer de cette façon ? gronde Altan. Je te ramène parmi les tiens et c’est comme ça que tu m’es reconnaissante ?
L’écume me monte au nez et, sans réfléchir, je lui crache à la figure sans vergogne. Ses yeux rouges ressemblent à deux brasiers prêts à me consumer sur place. Le tissu fragile de la chemise de nuit cède sous mon poids et je m’écroule sur ma couchette totalement dénudée.
– Eh bien, voilà ! se moque-t-il. Dans cette position, tu es disposée à me recevoir.
Ma respiration se coupe à ses propos effroyables. Je me ratatine contre le mur, rassemblant mes genoux contre ma poitrine pour me protéger, mais je sais que cela ne servirait à rien. Altan défait le col de sa chemise et s’avance lascivement vers moi à quatre pattes. Enragée, je lui flanque un coup de pied en pleine figure. Le chef impitoyable des Tegiis-Imagos s’effondre par terre. »
Et puis il y a deux autres Archives, comprenant également des dossiers. Les Archives 3, Code : Éclair de rage  et les Archives 4,  Code : Sournoise royauté. Avec les deux autres archives, nous avons des détails qui se coupent, des éléments qui se rassemblent pour former un puzzle. Mell s'amuse avec ses personnages, à les malmener, à les mettre dans une position instable pour leur démontrer par A + B qu'ils ne sont pas ce qu'ils sont véritablement. Les aspirations les plus profondes ressortent lorsqu'il ne faut pas. Les plans prévus ressortent et sont prêts à faire feu. J'ai adorer découvrir dans le dernier ce qui était prévu. Et dans le 3ème j'ai bien cru que j'allais étrangler l'auteur. Me faire croire des choses pour... hum bref je m'égare.

Les humains mutans ou non, les tegs, les tegiis-Imagos, les Nymphes qui font leur apparition (Yeurk ces créatures-là !)... Il existe plusieurs créatures qui ne sont pas toujours des cas... Enfin faut le chercher ou la chercher car c'est devenu une denrée rare. Chacun à ses particularités, ses besoins vitaux, ses dons particuliers. La couleur de la peau, sa capacité d'adaptation. Chacun à son propre processus d'évolution, car il s'agit aussi de cela.

« Je détourne son attention suspicieuse en essuyant son poignet ensanglanté que j’embrasse doucement. Non. C’est trop tôt. Ce n’est pas le bon moment pour le coup de grâce. Je dois me montrer patiente. Comme lorsqu’une proie est sur ses gardes, le prédateur attend qu’elle ne soit plus aux abois.  »

En conclusion, j'ai bien ris des personnages, des situations. Nous retrouvons certains protagonistes des tomes précédents.  Le côté hilarant de l'écriture passe très bien avec l'histoire, ou plutôt les histoires qui se rassemblent à un moment donné. J'avoue que j'ai hâte de découvrir la suite !

L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

- See more at: http://info-culture.biz/2016/10/31/damour-et-de-haine-tome-1/#.WCXI7ckY-M8

L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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L’histoire qui nous est racontée, dès le début est captivante, surtout du fait que ça se passe à bord de l’Empress of Irelan, ce paquebot qui fit naufrage dans les eaux du Fleuve Saint-Laurent. De partir d’un fait historique véridique pour créer une histoire de fiction, c’est une bonne manière de donner de la crédibilité à ce qu’on raconte. De plus, l’auteure, avec sa plume très raffinée et imagée, nous permet de nous faire sentir partie intégrante des événements et nous donne le goût suivre avec beaucoup d’intérêt la tentative de survie de ces passagers alors que le bateau s’enfonce vers les fonds du Fleuve.

Ensuite, le roman se transforme en histoire d’amour, en jeu du chat et de la souris, en poursuite entre les bons et les méchants, bref, une série de moments d’actions et quelques moments de frissons d’excitations s’alternent dans ce roman d’amour, alors que le destin d’Adélaïde semble se lier constamment à celui de Aidan, qu’elle ne cesse de trouver sur son chemin de vie.

Personnellement, le personnage de Adélaïde ne me rejoint pas beaucoup, avec sa candeur, sa fragilité, sa naïveté, sa peur constante de ce que les gens vont penser. Mais il est certain aussi que ce livre se passe au début des 1900, alors que les riches Britanniques sont tous empreints de convenances, de règles à suivre, de gestes de bonnes séances à respecter, ce dont l’auteure décrit très bien dans son histoire, et cela fait en sorte que l’on peut se transposer dans cette époque et voir comment les gens y vivaient et comprendre le comportement d’Adélaïde.

Ce roman est des plus intéressants à lire d’abord et avant tout, à cause de la plume de Sonia Alain. Elle sait créer dans l’imaginaire de son lectorat,  un savant mélange de scènes chaudes et érotiques,  tout en ajoutant des moments d’actions captivants. Ainsi, le lecteur passe par une belle gamme d’émotions à tout moment, si bien qu’il ne s’ennuie jamais pendant ses plus de 450 pages. Avec une imagination aussi fertile, on peut penser que le tome 2 La trahison, qui est également en librairie, sera tout aussi palpitant que le premier.

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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois