{Découverte} 42, Lawrence Singclear – @Bookscritics

« L’incertitude avait cette beauté de contenir toutes les promesses. »

{Découverte} 42, Lawrence Singclear – @Bookscritics

Étrange ! Étrange ! Étrange ! L’unique mot qui me vient à l’esprit en finissant ce livre. Et, je suis aussi un peu perplexe : je ne sais que penser. Je suis mitigé. C’est un livre qui a du potentiel, parce que l’idée du livre est plus que bonne ; elle parle et je pense que le livre s’inscrit dans un contexte actuel. Mais, et il y a un gros MAIS, l’histoire manque de ce petit quelque chose qui fait que le livre est juste bien. Juste.

Je m’explique, c’est l’histoire de « 42 » , un homme jeune, qui ouvre les yeux dans un monde dans lequel il n’a aucun souvenir. Pour vivre, il est obligé de survivre en tuant des gens. Dans ce monde, il ne peut ni manger, ni boire, ni dormir. Il ne ressent pas la fatigue. Alors, il marche et tue ceux qu’ils considèrent comme ses ennemis. Il tue ceux qui suivent une loi établit par celui qui se considère comme le roi de ce monde. C’est un monde où quand tu meurs, tu renais, mais plus tu renais plus tu perds ta part d’humanité…

« 42 » évolue dans ce monde hostile, et voit rapidement que la règle instaurée ne lui plaît pas. Il aspire à la paix, à la liberté et pas à être soumis à ce roi du monde. Il rencontre des personnes qui pensent la même chose et ensemble, ils deviennent plus forts pour accéder à tous les niveaux de ce monde.

Ça c’est le côté sympa du livre : la quête de liberté, les personnes qui font barrage au Pouvoir, à la dictature, etc. En ce sens, ce livre nous fait prendre conscience que certaines choses ne peuvent pas être acceptées. Et que l’on ne peut pas suivre bêtement une personne qui se proclame Chef d’une tribu ou du Monde. Pensez à toujours peser le pour et le contre.

Le côté moins sympa du livre et ça c’est le GROS mais : c’est que le livre traîne en longueur clairement, il est long et je dirais presque lent, et surtout, il est répétitif ! Alors ça, c’est le chose qu’il m’a le plus embêter dans ce livre c’est la répétition des mots comme « étrange », « étrangement », « planque », « couverture »… J’avais l’impression de les voir à tous les paragraphes… J’exagère à peine… Du coup, par moment, c’était lourd. Il n’y en avait pas, quand, l’auteur prenait un regard extérieur pour décrire des situations où « 42 » n’était pas…

C’était pour moi, en tout cas les plus gros points négatifs du livre !

Ma note 4/5

@Bookscritics

PS : Merci @Simplementpro et à l’auteur pour ce premier service presse ! 🙂