La Rose Blanche d’Amy Ewing

Coucou tout le monde ! 

Il me semble que cela fait un sacré moment que je n’ai pas chroniqué de romans mais vous le savez, une fois que le printemps est là, je ne lis plus voir peu. J’ai commencé le mois avec celui-ci et je vous en parle de suite !

Titre : Le Joyau, tome 2 : La Rose Blanche

Auteur : Amy Ewing

Editeur : Robert Laffont ( collection R )

Longueur : 399 pages

Résumé : Après que la Duchesse du Lac l’a surprise avec Ash, le compagnon loué pour sa nièce, Violet n’a plus le choix : elle doit s’évader du Joyau sous peine d’être exécutée. Accompagnée de sa meilleure amie, Raven, et d’Ash, Violet laisse donc derrière elle cette vie de servitude.

C’est toujours difficile de chroniquer un tome 2, surtout si vous n’avez pas lu le premier tome. Je vais essayer de ne pas vous spoiler même si le résumé a déjà fait une partie du travail. J’ai eu du mal à me replonger dans l’histoire car, je suis incorrigible, je mets cent sept ans avant de continuer une saga. Mais heureusement pour moi, Ewing fait partie de ces auteurs qui nous rappellent deux, trois choses au début du second tome.

La Rose Blanche d’Amy Ewing

J’étais bien contente de retrouver le personnage de Violet qui est une femme forte et qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Vous savez à quel point j’adore ce genre de personnages féminins et le young adult dystopique en regorge ! J’ai donc repris le tome 2 là où j’ai laissé mes personnages au tome précédent et pour celui-ci, c’est de l’action ! Les personnages principaux sont en cavale et on espère sincèrement qu’ils vont arriver vivants !

Il va se passer tout un tas de choses jusqu’à ce qu’ils arrivent à bon port et qu’on sache pourquoi le tome 2 à pour nom La Rose Blanche. Un titre qui devient tout à fait logique une fois expliqué et on entre dans la seconde phase du livre. Plus calme avec une profonde introspection pour Violet et des plans à établir pour la suite. J’ai terminé le tome dans une panique totale en me disant :  » Oh mon dieu il me faut le tome 3 mais je suis en zéro achat ! « .


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