Auteur : Pierre-Etienne Bram
Titre : L’interphone ne fonctionne toujours pas
Autoedité – Format Kindle –

4eme de couverture : 

« Objet : Hola je m’appelle Celia. Et toi ? Je suis celle qui n’arrive pas à te parler sur Meetic. . . Mais tu vois, je ne suis pas totalement muette quand on m’en donne les moyens À bientôt peut être ? Celia » Si seulement j’avais su, au moment d’ouvrir ce mail le tournant que ma vie allait prendre. . . Beaucoup de mes proches n’ont jamais vraiment pu comprendre notre histoire. « Comment as-tu pu continuer à garder contact avec elle après tous les lapins qu’elle t’a mis ? Ne crois-tu pas que ça cache quelque chose ? » « Non, je ne crois pas. . . Sa vie est compliquée. . . La mienne n’est pas simple non plus. . . Et puis sa voix était tellement envoûtante. . . » « Les autres ne comprendront jamais notre histoire. . . Ne les écoute pas. . . Demain je serai là. . . Promis » Comment résister. . .

Mon avis : 

Lorsque j’ai reçu la proposition de l’auteur par le biais du site  SimplementPro Je me demandais a quoi je devais m’attendre. Est-ce que je n’allais pas m’ennuyer avec cette lecture ? Lecture qui en lisant les quelques lignes de résumé semblait vouloir m’embarquer dans de la romance (tiens, tiens !!! ça me rappelle un bon souvenir récent ça   ) .

Nous faisons donc connaissance avec un gars qui vient de faire face à une rupture. Ne se laissant pas abbatre, il decide de s’inscrire sur Meetic, le très bien connu site de rencontres et c’est la qu’il va faire la connaissance avec Celia.

Lui, c’est une personne qui a beaucoup de courage et surtout d’énormément de patience face à une Célia qui m’a profondément énervé et exaspéré. Tout du long, on se rend assez vite compte que celia fait marcher le gars à la baguette, elle fait ce qu’elle veut de lui et ce malgré l’avis negatif de son entourage. On a beau lui dire « quitte la », « pose lui un ultimatum » non ca va durer un temps pour recommencer ensuite.

Un roman très bien construit ou on ne s’ennuie pas. Je suis impatient d’avoir la suite. J’avoue que je suis resté sur ma faim en lisant la dernière page, genre je vois un gâteau derrière la vitrine mais