Un drôle de manga historique, hyper réaliste sur certains détails (architecture, vêtements, organisation sociale, etc.) et beaucoup moins rigoureux sur d’autres aspects. Les personnages de Robespierre et St Just sont par exemple représentés de façon très « libre », pour ne pas dire plus. Pareil pour les positions idéologiques défendues pas George, anarchiste un siècle avant l’heure.
Le troisième Gédéon de Taro Nogizaka. Glénat, 2017. 200 pages. 7,60 euros.