Niveau graphisme, la différence est criante entre les dessins de 1998 et ceux de 2006. Au moins on constate que l’auteure a sacrément progressé mais ses productions les plus anciennes ont du mal à soutenir la comparaison. Après il faut aimer ce trait tout sauf classique, assez undergound, assez typique de la BD indépendante. Personnellement, j’y ai trouvé mon compte sur la forme mais pour ce qui est du fond, on est trop dans le saupoudrage pour me satisfaire pleinement. Sympa sans plus quoi.
Sous les étoiles de Laura Scarpa. Delcourt, 2017. 80 pages. 18,95 euros.