« Ces livres qui… » est un rendez-vous bimensuel que vous pourrez retrouver le vendredi sur le blog ainsi que chez Harlow, Iris et Ludo. L’idée de ce nouveau rendez-vous est d’établir des petites listes de recommandations répondant à un thème particulier afin que vous puissiez trouver le roman que vous souhaitez lire.
Thème n°22 : Les méchants irrécupérables !
Évidemment, le premier grand méchant auquel je pense est Lord Voldemort dans Harry Potter de J.K Rowling. Personnage tellement terrifiant que même son nom effraie le commun des sorciers. Il est difficile d’arriver à la cheville de Jedusor tant son personnage se construit au fil des livres passant de simples souvenirs à menace suprême aux idées épouvantables. Cependant, dans mon coeur, Dumbledore n’est pas bien loin. Il a beau être le « grand-père » un peu fou qu’Harry aurait aimé avoir, il n’en a pas moins conduit ce dernier à l’abattoir sans sourciller.
Le président Snow, création de Suzanne Collins, dans Hunger Games est un vrai méchant que j’ai beaucoup apprécié. Snow a du charisme, de la richesse et du pouvoir. Malheureusement, il utilise ces trois qualités uniquement à son avantage pour assujettir la population de Panem. D’ailleurs, Donald Sutherland interprète à merveille ce personnage.

Le Capitaine Jack Randall dans Outlander de Diana Gabaldon est un grand malade. Il n’y a pas un moment dans Le chardon et le tartan où Black Jack Randall peut être apprécié ou admiré pour ses actes. Et lorsque vous croyez en être définitivement débarrassé, il a le don de refaire surface pour torturer toujours plus encore Claire et Jamie Fraser.

Dans mes précédents choix, les méchants étaient des personnages imaginaires qu’il est facile de reléguer à l’arrière-plan. Mais Jack Brannigan dans L’instant précis où les destins s’entremêlent de Angélique Barbérat à une dimension humaine. Personnage fictif, mais ô combien réaliste, Jack Brannigan est un homme glaçant que j’ai eu envie de tuer à chacun de ses gestes !

Mon dernier choix se porte sur un méchant dont j’ai dernièrement fait la connaissance dans Une braise sous la cendre de Sabaa Tahir. Si vous l’avez lu, vous comprendrez aisément pourquoi j’ai choisi La Commandante. J’ai hâte de me plonger dans le second tome est apprendre un peu plus des plans machiavéliques de La Commandante.