« Lus dans le train » #8

C’est l’heure du rendez-vous mensuel « Lus dans le train » ! 
Je vous rappelle un peu le concept, qui a été créé par Les Lectures de Mina. :

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« Pour tout ceux et toutes celles qui ont l’habitude de prendre les transports en commun, nous croisons souvent d’autres passagers plongés, eux aussi, dans un roman. Une belle échappatoire pour sortir de notre train-train quotidien. Et je vous avoue, j’ai tendance à jeter un coup d’œil sur la couverture du livre et le titre. Et pour ceux qui retiennent mon attention, je les note sur mon portable. On ne sait jamais: si c’était un futur coup de cœur ? »

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Le froid se fait de plus en plus présent et les fêtes de fin d’année s’approchent à grands pas. Avez-vous déjà fait votre liste? Ou bien, êtes-vous déjà en quête de futurs cadeaux pour vos proches ?
Quant à moi, je continue ma quête, armée de mon portable et prête à dégainer dès qu’un titre surgit devant moi. Vais-je trouver ma future lecture, voir même, mon future coup de coeur ?

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« Lus dans le train » #8

LES GENS HEUREUX LISENT ET BOIVENT DU CAFE,  d’ Agnès Martin-Lugand (Michel Lafon, 6 juin 2013)

«Diane a brusquement perdu son mari et sa fille dans un accident de voiture. Dès lors, tout se fige en elle, à l’exception de son cœur, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l’existence. Afin d’échapper à son entourage qui l’enjoint à reprendre pied, elle décide de s’exiler en Irlande, seule.
Mais, à fuir avec acharnement la vie, elle finit par vous rattraper…
»

  •  Je pense que je n’ai pas besoin de vous présenter ce roman qui a été présenté dans de nombreux blogs et chaînes Youtube. Je vous avoue, il ne m’attire guère pour l’instant. Non, à cause des avis, bons pour la plupart et mitigés pour d’autres, mais simplement que ce n’est pas le bon moment.

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« Lus dans le train » #8

LES FOURMIS , de Bernard Werber (Le Livre de Poche, 1997)

« Le temps que vous lisiez ces lignes, sept cents millions de fourmis seront nées sur la planète. Sept cents millions d’individus dans une communauté estimée à un milliard de milliards, et qui a ses villes, sa hiérarchie, ses colonies, son langage, sa production industrielle, ses esclaves, ses mercenaires… Ses armes aussi. Terriblement destructrices.
Lorsqu’il entre dans la cave de la maison léguée par un vieil oncle entomologiste, Jonathan Wells est loin de se douter qu’il va à leur rencontre.
A sa suite, nous allons découvrir le monde fabuleusement riche, monstrueux et fascinant de ces «infraterrestres», au fil d’un thriller unique en son genre, où le suspense et l’horreur reposent à chaque page sur les données scientifiques les plus rigoureuses.
Voici pour la première fois un roman dont les héros sont des… fourmis !
»

  • Nous avons là encore un titre qui n’a plus besoin d’être présenté. Alors que l’auteur vient de sortir un dernier titre « Demain, les chats », j’ai croisé deux personnes avec ce roman dans deux éditions différentes. Ce qui me fait penser d’ailleurs qu’il fait partie des livres que je veux lire au moins une fois.

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« Lus dans le train » #8

TRISTESSE DE LA GUERRE, d’Eric Vuillard (Babel, 2016)

«Le spectacle est l’origine du monde. Créé en 1883, le Wild West Show de Buffalo Bill proposait d’assister en direct aux derniers instants de la conquête de l’Ouest : au milieu de cavaliers, de fusillades et d’attaques de diligences, des indiens rescapés des massacres y jouaient le récit de leurs propres malheurs. L’illusion était parfaite. Par la force de la répétition et le charme de la féerie, le Wild West Show imposa au monde sa version falsifiée de l’Histoire américaine. D’une écriture acérée et inventive, Eric Vuillard ressuscite les personnages de ce drame et livre une autre version de la fable, dans les replis de sa naissance. Avec les armes de la littérature, Tristesse de la terre noue ensemble les fils de deux histoires, celle des derniers massacres d’Indiens et celle de leur mise en scène par le grand spectacle, en une évocation saisissante.»

  •  Le résumé de ce roman m’interpelle beaucoup. L’histoire des Amérindiens tout autant que celle des Afro-américains m’intéressent beaucoup. Il y’a de forte chance qu’elle soit une de mes futures lectures pour 2017.

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« Lus dans le train » #8

Les Carnets de Cerise: Le zoo pétrifié,  de Joris Chamblain et Aurélie Neyret (Edition Soleil, 2012)

« Cerise est une petite fille âgée de 11 ans, qui vit seule avec sa mère. Elle rêve de devenir romancière, et a même déjà commencé à écrire ses carnets ! Son sujet favori : les gens, et plus particulièrement, les adultes. Ils sont si compliqués qu’elle souhaiterait mieux les comprendre. Elle adore les observer pour tenter de deviner quels secrets ils dissimulent au fond d’eux. Prenez Michel… Tous les dimanches, ce vieil homme s’engouffre dans la forêt avec de gros pots de peinture à la main. Qu’y fait-il donc toute la journée ? Repeint-il une vieille maison ? Décore-t-il des arbres ? Et pourquoi a-t-il l’air si triste quand il rentre le soir ? Suivez Cerise, pas à pas, dans sa première enquête qui vous mènera au coeur de la forêt, à la découverte d’un lieu fabuleux !…«  

  • Pour une fois, je suis tombée sur une jeune lectrice. Je n’ai pu m’empêcher de sourire en notant le titre de sa bande-dessinée. Les illustrations sont vraiment très plaisantes.

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Voilà ! C’était  « Lus dans le train », huitième du nom  ! Si comme, Maman Bouquine vous souhaitez reprendre le concept de cette chronique, vous pouvez.
Je pense que l’idée de « Les lectures de Mina » mérite d’être bien plus partager ^^ . Sur ces derniers mots, je vous dis à bientôt pour le prochain numéro😀



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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois