
Avec le vendredi viendra le fin mot de l'histoire et le voleur pris la main dans le sac ou plutôt le sandwich dans la bouche... et qui risque de s'en souvenir longtemps !
Pour autant, au-delà de cette enquête gustative, deux aspects m'ont plu dans ce roman.
Le cadre tout d'abord.
Même s'il n'est pas nommé, il se déroule dans une école canadienne (La Pastèque est un éditeur canadien). D'où quelques termes " rigolos " : crêpe mexicaine pour tortilla (je dirais plutôt espagnole) ou barre tendre.
Ce qui peut amener une discussion sur les différences ou similitudes entre les élèves des deux pays, mais aussi les deux systèmes scolaires, avec la présence de cours de français, et périscolaires, avec l'absence de cantine. Les enfants doivent donc amener leur " lunch " : sandwich, salade ou autre...

