Pas de repos pour les braves ! Les clients continuent de rentrer dans la bibliothèque pour enfants tenue par Mikoshiba, une « clinique » bien particulière. Fidèles ou petits nouveaux, ils sont tous à la recherche de quelque chose. Le personnel et les livres de « La rose trémière » les aident à y voir plus clair dans leur existence. Après la triste révélation de Tsuikui, Miyamoto rencontre la sœur de Kanda. Ato, lui, demande à Itaya de parler avec un de ses collègues qui veut quitter l’armée. Un objet très personnel appartenant à Mikoshiba est découvert et ce dernier a toujours une relation délicate avec sa sœur.

Entre les spectacles de marionnettes, le rangement, les cartes d’abonnement à créer et les lectures de classiques de la littérature pour enfants, jalousies, conflits familiaux et recherche de soi même animent ce septième tome du Maître des livres. C’est toujours drôle, touchant et instructif. Le charme paraît infini. Surtout que les personnages sont devenus vraiment attachants et que le lecteur espère bien que Umiharu Shinohara a les mêmes projets que lui pour eux !

Présentation de l’éditeur :
Mikoshiba, homme à la tête de champignon et au caractère de cochon reste l’incontournable bibliothécaire si attachant de cette histoire. Ses patients du jour à « La rose trémière » ? Un jeune collégien, une lycéenne, un vétéran de l’armée, et même Kanda. Tous ont des histoires personnelles à vous raconter… mais c’est également le cas de Mikoshiba en personne ! Le Maître des livres continue son bonhomme de chemin entre amours de la littérature, de l’objet livre et des relations humaines sincères et chaleureuses.