Il y a quelques semaines, j’ai été taguée pour répondre à un questionnaire original et poétique. Le principe est simple : il s’agit de se décrire en reprenant des titres de romans que nous avons pu lire. Je remercie ma chère Carnet Parisien, je me suis beaucoup amusée à y répondre.
Décris-toi : Les talons hauts rapprochent les filles du ciel (Olivier Gay). Parce qu’étant petite, je porte quasiment toujours des talons.
Comment te sens-tu : Les gens heureux lisent et boivent du café (Agnès Martin-Lugand). Je me sens plutôt heureuse, je lis toujours autant et j’apprécie avoir mon petit café tous les jours.
Décris là où tu vis actuellement : Les déferlantes (Claudie Gallay). Parce qu’en ce moment j’alterne entre la Basse-Normandie et la Bretagne. Je suis donc toujours près de la mer, et l’intrigue du roman se déroule dans le Cotentin donc cela tombe bien.
Si tu pouvais aller n’importe où, où irais-tu : Northanger Abbey (Jane Austen). Mon amour pour les manoirs et les vieilles pierres y est certainement pour quelque chose.
Ton moyen de transport préféré : La fille du train (Paula Hawkings).
Ton/ta meilleur(e) ami(e) est : Un été avec Louise (Laura Moriarty). Parce que j’aimerais que l’on s’organise des vacances l’été prochain.
Toi et tes amis, vous êtes : Ensemble, c’est tout (Anna Gavalda).
Comment est le temps : Quand souffle le vent du Nord (Daniel Glattauer).
Ton moment préféré de la journée : La nuit du renard (Mary Higgins Clark).
Qu’est la vie pour toi : Le goût des pépins de pomme (Katharina Hagena). Parce qu’il faut apprendre à apprécier les toutes petites choses qui rendent la vie plus jolie.
Ta peur : Les apparences (Gillian Flynn). Car on ne peut décidément pas toujours s’y fier.
Quel est le meilleur conseil que tu as à donner : On ne badine pas avec l’amour (Alfred de Musset).
Pensée du jour : La liste de mes envies (Grégoire Delacourt).
Comment aimerais-tu mourir : Maybe someday (Colleen Hoover). Cette fois-ci je triche, je ne l’ai pas (encore) lu.
La condition actuelle de mon âme : La promesse du chant des grillons (Agnès Janin). Pour le mot promesse, l’idée de soleil et de chaleur, ainsi que pour le joli message que renferme cet écrit.
