Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier.

PRESENTATION DE L'AUTEUR :

Auteur, à la sensibilité écorchée, d'une trentaine d'ouvrages - notamment Remise de peine, Voyage de noces, Dora Bruder, Des inconnues, Accident nocturne, Un pedigree, ... - Patrick Modiano publie en 2007 Dans le café de la jeunesse perdue, roman portant sur le Paris des années 1960. Il est aujourd'hui reconnu comme l'un des écrivains les plus talentueux de sa génération. En 2014, il reçoit le prix Nobel de littérature pour "l'art de la mémoire avec lequel il a évoqué les destinées humaines les plus insaisissables et dévoilé le monde de l'Occupation".

Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier.

Editeur du livre : Gallimard.

Edition du livre : Gallimard.

Date d'édition du livre : 2014.

Nombre de pages : 146.

QUATRIEME DE COUVERTURE :

"- Et l'enfant ? demanda Daragane. Vous avez eu des nouvelles de l'enfant ?

- Aucune. Je me suis souvent demandé ce qu'il était devenu... Quel drôle de départ dans la vie...

- Ils l'avaient certainement inscrit à une école...

- Oui. A l'école de la Forêt, rue de Beuvron. Je me souviens avoir écrit un mot pour justifier son absence à cause d'une grippe.

- Et à l'école de la Forêt, on pourrait peut-être trouver une trace de son passage...

- Non, malheureusement. Ils ont détruit l'école de la Forêt il y a deux ans. C'était une toute petite école, vous savez..."

J'ai eu ce livre presque par hasard. Mon père voulait m'acheter un livre et comme il ne connait pas mes goûts, il m'a ramené le prix Nobel de littérature de 2014.

Au début, la quatrième de couverture ne me parlait pas vraiment donc je l'ai laissé dans ma PAL.

Comme je vide au maximum ma PAL, j'ai décidé de le lire.

Dans ce livre, on découvre Jean, un écrivain qui va rencontrer un homme étrange. De cette rencontre, on va au fil du livre suivre Jean à la recherche de son passé.

J'ai bien aimé l'intrigue de l'histoire : un homme qui cherche qui il est. C'est un peu banal mais bon.

Ensuite, j'voue avoir eu du mal à le lire avec mon rythme normal : les longueurs sont trop importantes. Il y a également des aller-retours entre le présent et le passé de Jean, qui sont sans transition ; cela m'a un peu perturbé.

Enfin, la fin est "bizarre". Je n'y ai rien compris. J'avais à peu près compris l'histoire, jusqu'à cette fin.

En bref, je m'attendais à être déçu mais je ne le suis pas, j'ai juste moyennement aimé l'histoire.


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Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois