
Divergente raconté par Quatre - Auteur : Veronica Roth
- Serie : Divergente
- Genres : Dystopie, Fantasy
- Editeur : Nathan
- Collection : Romans Grands Formats
- Publication: 02/ 04/ 2015
- Edition: Numérique
- Pages : 262
- Prix : 12,99€
- Rating:

Résumé :
L'histoire de Quatre avant sa rencontre avec Tris.
Lors de sa cérémonie du choix, un jeune altruiste se dresse contre sa famille et sa faction : il rejoint les audacieux. Il choisit un nouveau destin, et devient Quatre.
Mais ce qu'il découvre alors met en péril son avenir, et celui de la société tout entière.
Va-t-il devoir se dresser contre sa nouvelle faction?
Avis de Phika :
Tobias est le fils unique de Marcus Eaton, un chef chez les Altruistes. Sa mère est décédée. Tobias a 16 ans et va devoir faire un choix, celui de sa nouvelle faction.
Rester chez les Altruistes, où il vit en solitaire sous les coups de son père, ou partir dans une autre faction où il pourra devenir quelqu'un d'autre. Lors de son test, Torry lui a assuré qu'il était Altruiste, mais l'est-il réellement ? Son père l'a tellement entraîné afin qu'il réussisse sa simulation...
Tobias choisira de vivre parmi les Audacieux. Sans toute fois se défaire de sa solitude, jusqu'à l'arrivée de Triss, qui lui ressemble tant, deux ans plus tard.
L'histoire de Quatre est parfaite à mon sens. Je visualisais complètement son passé dans ma tête. Tout concordait. Par contre, c'est trop court. On ne s'en lasse pas !
Notons également 3 scènes de la trilogie Divergente racontées par Quatre !
Extrait :
" Avec quel choix puis-je vivre ? Pas les Erudits, ni les Sincères. Ni les Altruistes, que je cherche à fuir. Pas même les Fraternels, auxquels je suis trop abîmé pour appartenir. La vérité, c'est que je veux que mon choix poignarde mon père en plein coeur, qu'il le transperce avec la pire souffrance, la pire honte, la pire déception possible.
Un seul choix peut accomplir cela.
Je le regarde et il hoche la tête. J'enfonce la lame dans ma paume, si profondément que la douleur me fait monter les larmes aux yeux. Je ferme mon poing pour laisser le sang s'y accumuler. Il a les mêmes yeux que moi, d'un bleu si sombre que dans la mi-ombre, comme ici, ils semblent presque noirs, comme des trous dans son crâne. Mon dos me lance, le tissu de ma chemise râpe ma peau à vif, ma peau qu'il a labourée à coups de ceinture.
J'ouvre ma paume au-dessus des charbons. J'ai la sensation qu'ils brûlent dans mon ventre, qu'ils me remplissent à ras bord de feu et de fumée.
Je suis libre. "